Olivia L. Sanchez [Terminé]

_PΛPIΣRS D'IDΣNTITÉ !

Olivia Lolita Sanchez Espagnole 21 ans 4ème année, en Lettres

Crédit icons : © Winnie

_IL ÉTΛIT UNΣ FΘIS...

P

edro Sanchez rencontre Anna Dos Santos le 30 août 1985. Question de karma, de compatibilité prénom nom de famille, saucisses, positions des planètes ou flux d’énergie mystérieuse, ils se plaisent, comme c’est beau la vie. Le 12 février 1986, ils se marient. Pedro a 31 ans, Anna 22, elle termine des études de Droit, il bosse. Il voudrait qu’elle arrête, mais elle ne veut pas être femme au foyer bonne à tout faire, elle dit qu’elles ont pas gagné le droit de vote pour ça, les femmes, quand même.
30 août 1989
Elle est heureuse Anna, elle a accouché, il est heureux Pedro, il est papa. Ils sont heureux ils sont parents, ils ont procréé, ils ont été des animaux, ils ont copulé, ils ont participé à continuer l’espèce, bravo. Ce qu’elle a pondu, c’est une fille, elle a les yeux noisette de sa maman et trois-quatre cheveux bruns sur le haut du crâne. Elle s’appellera Olivia dès que Pedro sera allé l’inscrire sur l’Etat Civil, pour le moment elle n’existe pas, et est-ce qu’on lui demande à elle si elle a envie d’exister ? Non. On dit « donner la vie » comme si c’était un cadeau ; c’est juste égoïste et unilatéral comme décision. Ça en fait sans doute le charme. Avoir le pouvoir, contrôler, c’est bas, c’est humain, et se sentir généreux, responsable, tout ça, même tonneau.
30 septembre 1994
Ce jour-là Olivia est heureuse. Enfin elle le croit encore, parce qu’elle ne sait pas, non pour le moment elle ne sait pas, comment pourrait-elle savoir hein comment eh bien c’est simple elle ne peut pas, ne peut pas savoir, la pauvre gamine, la pauvre larve, la pauvre chose misérable, que le Bonheur il n’existe pas, qu’il est un pendule débile qui oscille perpétuellement entre l’ennui et la souffrance, eh non, elle n’a pas encore l’âge de lire Schopenhauer.
Elle est heureuse donc, elle est heureuse pourquoi, elle est heureuse comme ça, parce qu’il fait beau, qu’on ne la gronde pas, que l’école ça se passe bien, qu’elle a quelques copines. Plus pour longtemps, mais elle ne le sait pas.
3 décembre 1996
Ce jour-là, elle ne sait pas si elle est triste ou pas. Certainement qu’elle l’est, on est triste quand on rencontre la mort, on est triste quand on perd des gens. Ou alors, on n’a même pas le droit d’être triste, on ne comprend pas, on ne veut pas comprendre, et autour il y a tous ces gens attentionnés qui de toute manière ne veulent pas qu’on comprenne.
« Papa et Maman sont partis, Olivia. »
Et ça veut dire quoi partis hein, ça ne veut rien dire, c’est vide, tant de choses sont vides, comme leur chambre, ses mains, tant de choses. Elle n’avait pas envie de savoir, certainement. C’est sa grand-mère qui va l’accueillir, c’est chouette pas vrai ? Il y a des choses qu’on sent. Alors elle sent que tout a changé, que quelque chose a basculé, que c’est comme ça ; que « avant » s’est écrasé aussi avec la voiture.
10 décembre 1996
Quand on a moins de 10 ans, on ne comprend pas ce que ça veut dire, être intelligente, être belle, être parfaite. La perfection, on trouve ça valorisant, ça rend contente, contente, et c’est bien d’être contente. Mais comment savent-ils, par exemple, qu’elle est intelligente ? Où est-ce que c’est écrit ? Qu’est-ce qui le prouve ? C’est quoi un chiffre ? Qu’est-ce que ça a à voir avec elle ? A quoi ça sert ? A rien, juste à rien.
Rien, c’est ce qu’il y devant, et derrière, et là, et maintenant. Comme elle ne comprend pas et comme elle est contente, comme elle ne comprend pas et comme elle est perdue, elle ne se demande rien et voilà, bienvenue dans ton nouveau chez-toi, tu n’as pas à t’apercevoir tout de suite que ce n’est pas vraiment chez toi, ça viendra, attends.
2002
Six ans déjà, wahou, six ans déjà. En six ans on trouve ses marques, ses repères, on trouve aussi ce qui ne le sera pas. Vers treize ans, peut-être qu’on commence à ressembler à quelque chose, à devenir ce qu’on est, à être, bref à se construire, vivre, tout ça.
Pour ce qui est des repères, il ne lui avait pas fallu trop longtemps. Elle avait tendance à s’ennuyer, ne savait pas quoi faire d’elle, ça arrive souvent, plus ou moins tôt dans la vie. On lui avait fourni un but, sur un plateau, vas-y sers-toi prend c’est vachement gratuit, mais avait-il envie d’être la première la meilleure, le whatever, bah, peut-être que oui et peut-être que non. Mais il y avait Rosa et Rosa c’était son idole absolue allez savoir pourquoi, la couleur des cheveux y était certainement pour quelque chose, elle aurait bien aimé être rousse elle, ça serait bien allé avec ses yeux noisettes. Il y a un tas de choses qu’elle aurait bien aimé, déjà, mais elle les a déjà oubliées. Tout passe et s’efface. Comme c’est joli et comme c’est chouette.
Rosa a un but Rosa a presque un but non en fait non mais quelle importance ah purée on s’en moque, tout le monde s’en moque, et elle s’en moque de tout le monde, elle a décidé de coller discrètement au cul de l’autre rousse et puis voilà, on va pas commencer à lui chercher des bonnes raisons non plus ça sert à quoi, à rien voilà, surtout au collège.
Aujourd’hui, elle a découvert l’histoire de Tristan et Iseult, ça l’intéresse, ça l’intéressera encore une semaines peut-être, puis il faudra chercher autre chose (ce qui l’intéresse aussi, c’est manger des gâteaux).
Au fil du temps, au fil de l’eau, au fil des jours et au fil de tout un tas d’autres trucs, elle a amassé des choses, des parasites, ou des morceaux ; elle a pris conscience de plus de choses qu’elle n’aurait aimé, alors elle a décidé d’apprendre à y mettre un frein : si elle ne veut pas comprendre, alors elle ne comprendra pas (avec les maths souvent, ça arrive). S’installer soi-même ses barrières dans le cerveau, c’est assez jouissif.
Au fil bla bla elle a grandi aussi, elle mesure désormais 1 mètre 65 et espère qu’elle ne prendra plus un seul centimètres nan mais enfin, faut bien s’arrêter de grandir un jour, là elle a pile la bonne taille, elle peut s’habiller n’importe comment, elle en profite, elle aime les chapeaux les sacs les longs manteaux les trucs qui moulent les trucs qui font du bruit bref, quand elle n’a vraiment rien à faire, elle pense à ses vêtements, ça occupe, s’occuper c’est important.
D’ailleurs elle a décidé au cours de sa 16ème année de ne pas être une abrutie maniaco-dépressive de l’existence cherchant à savoir si oui ou non son existence répondait à un but, de quelle façon elle devait réaliser son être, le sens de la vie, 42, l’univers, tourbillon sartrien, non, que dalle, poubelle, fini, enfin, en tout cas, rangé dans un coin. Comme ça, ça ne se voit plus, non, elle raconte n’importe quoi elle fait n’importe quoi c’est bien, oui, c’est bien, comme elle est contente, et vous Amalric vous aussi vous êtes content, c’est formidable tout cela.
Ses cheveux ça l’occupe aussi parfois, mais pas trop non plus, elle a une belle coupe qui ne rime à rien et qui ressemble à tout, pas un dégradé, pas rien, avec une mèche, comme ça elle peut la rejeter en arrière, mettre des barrettes dedans, tout ce qu’on peut faire d’utile dans la vie c’est chouette, elle est belle, et aussi « mignonne » et ça sert à quoi d’être mignonne, bah, c’est juste négligeable.
Elle sait que dans sa tête c’est un peu le bordel, elle sait qu’il y a deux-trois trucs qui ne vont pas, mais qu’est-ce que ça fait, on ne lui a jamais demandé d’être organisée, être organisée c’était pour ceux qui ne pensaient qu’à peu de choses, quand on a peu c’est facile à ranger. Et puis ranger, quelle horreur, elle déteste ça, oui, tout ce qu’elle aime c’est le bordel, le désordre, le désordre familier et chaleureux, oui, tellement réconfortant, et elle n’aime pas les murs blancs et la propreté qui brille de trop, ni les rangs, ni les formes géométriques.
Et surtout le silence, l’immobilité, le néant, c’est terrifiant, tout à fait angoissant, et elle ne doit pas angoisser, et surtout les autres ne doivent pas savoir, ils ne doivent pas savoir qu’elle a peur, peur de quoi, de rien, elle n’a peur de rien, pour quel genre d’imbécile la prend-on, non, elle n’a pas peur du noir quand dans la nuit il n’y a plus un bruit plus un mouvement non elle n’a pas l’impression de disparaître non elle n’a pas besoin de quelque chose à quoi se raccrocher non, pas du tout, pas du tout ; parce que si les autres savent, elle aura perdu, ils sauront, ils sauront ses faiblesses, et ça, il ne faut surtout pas. De toute manière elle peut meubler, elle peut remplir, elle sait faire, il y a la musique et le théâtre, il y a les pensées et la lecture, n’importe quoi pourquoi qu’il y ait du mouvement du bruit de la vie quoi ; mais pas la masse, pas la masse informe, elle n’aime pas les espace clos emplis de monde non, c’est oppressant ça aussi, les autres, les autres en masse, ça n’est pas intéressant, et ça n’est pas gentil, c’est agressif, c’est contre elle, ça lui en veut, oui, ça lui en veut.
C’est pour ça qu’elle ne doit pas être faible ni dépressive pourrave, parce qu’elle ne peut pas perdre face au tas informe, à la masse gluante, et que surtout elle ne doit pas s’y fondre, quelle horreur, être contaminé, surtout pas, surtout pas. C’est pour ça qu’elle raconte n’importe quoi. Mais comment se mettre à l’écart des autres sans les écarter de soi ? Parce que l’indifférence, ça tue.
L’indifférence, ça tue.
Ça tue.
Ça tue.
Ça tue.
Et ça l’effraie, mais c’est toujours la même chose, la même vieille chanson, le vide, le silence, l’indifférence, l’oubli, pourquoi, un psychanalyste débile aurait certainement un tas de solutions, pour lui c’était juste normal, juste comme tout le monde, question de degré, et ça c’était répugnant, d’avoir les mêmes peurs qu’un tas d’autres, un gros tas, des larves, qui bavent, pourquoi, parce que c’est comme ça, on naît, on est, on ne choisit pas.
Alors elle s’agite, elle se cogne contre les parois en verre, c’est comme un papillon de nuit, c’est comme une chauve-souris, comme une mouche, comme un insecte, c’est misérable, c’est elle, c’est ça.
Alors elle rit et elle sourit et elle bavarde et elle vit et elle mange c’est bon le sucre et le reste aussi elle essaie elle y arrive il ne faut pas s’arrêter et surtout tout ça il ne faut pas y penser, parce que c’est faible et lamentable, qu’il ne faut pas être faible ni lamentable, que ça craint, que ça craint, que ça craint, elle est vulgaire aussi souvent mais pas forcément à l’oral, ça déstresse, c’est tout, sans doute qu’elle est stressée, l’angoisse, le stress, la drogue qui ne l’arrange pas, le café, les clopes, les somnifères, on s’en fout, on s’en moque, ça n’existe pas, si j’oublie, ça n’existe pas.

_ΛNGΣ ΘU DÉMΦN ?

Il y' aurait tant à complimenter !
Persévérante – Affectueuse – Intelligente – Attentive – Sensible – Imaginative – Drôle – Attachante – Fidèle
On est tous presque parfait !
Stressée – Jalouse – Possessive – Grande gueule – Egocentrique – Capricieuse – Rancunière – Tendance Dépressive – Lunatique – Dérangée

Olivia est “Nervous Break Down”. Dans son monde rien ne va jamais, toujours quelque chose cloche, ne tourne pas rond, elle se pose beaucoup trop de questions. Que ce soit le léger décalage entre sa montre et l’horloge de l’université – elle est maniaque de l’heure, et ne supporte pas le manque de ponctualité – ou bien l’étiquette de cette nouvelle robe, qui est encore dans son armoire, mais qu’elle a oublié de couper la veille, rien n’est jamais parfait et cela, la jeune femme ne le supporte pas. Elle carbure au café, aux somnifères, à la cigarette et aux pilules magiques depuis l’âge de quinze ans, est totalement droguée. Olivia est contradictoire. Ce qu’elle veut dans la vie ? Survivre, ça fait un peu trop déprimée dépressive vieille naze toute pourrie. Non, dans la vie, elle ne veut rien, elle voudrait juste qu’on le laisse tranquille, mais en s’occupant d’elle, qu’on lui foute la paix mais en s’intéressant à elle, c’est pourtant simple non, si, non, peut-être, je passe ? Elle n’a pas de vrai rêve en tout cas, elle attend qu’on lui en donne un. Pour l’ambition, elle prend ce qu’on lui donne, là aussi. Alors oui, vaguement, elle a envie d’être la plus intelligente, d’être la plus belle, d’être la plus forte, mais quand on est consciente de ses limites, c’est compliqué de s’y mettre à fond. Olivia, elle a peur de beaucoup de choses. Elle a peur du vide et de la foule, du silence et du bruit. Sinon, des ascenseurs, des clowns et des poupées, du noir, de la nuit puis aussi des insectes. Sa passion, c’est le théâtre. Elle aime aussi le chant et le piano, et n’y est d’ailleurs pas trop mauvaise, tandis que malgré son ardente passion pour, elle est tout à fait nulle en dessin. Elle aime les chats, le bordel et les enfants, la lecture, se passionne pour les langues, mais déteste les maths. La jeune Sanchez s’est vu attribuée un nombre incalculable de maladies, de choses qui clochaient dans sa tête : agoraphobie, hystérique, peut-être même était-elle schizophrène ? Mais non, rien de ça, elle est juste stressée, et peut-être hypersensible. Olivia, elle a toujours eu du mal à pardonner. Elle n’aime pas être trahie, et fera tout pour se venger de celui ou celle qui a osé se moquer d’elle. Elle vient d’une famille très aimante aussi, ses parents lui répétaient à longueur de journées qu’elle était parfaite, alors évidemment, elle a une haute estime d’elle-même, est capricieuse, et tout ça, c’est toujours la faute des parents. Quand Olivia se prend d’affection pour quelqu’un, c’est vrai, c’est honnête. Elle devient alors quelqu’un sur qui on peut réellement compter, attentive et douce comme un Bisounours. Seulement, elle ne supporte pas qu’on s’éloigne d’elle, et pique facilement des crises si quelqu’un qu’elle apprécie a l’audace d’aller voir quelqu’un dont la tête ne lui revient pas, et en devient affreusement jalouse. Olivia est difficile, très difficile à vivre. Mais les quelques personnes qui la connaissent bien disent tous la même chose d’elle, c’est une « chieuse, mais adorable ». Parce que sous cette myriade de défauts tous plus gênants les uns que les autres, il y aussi beaucoup de qualités très appréciées ; Olivia ne laisse jamais tomber ceux qu’elle aime, est intelligente et trouve toujours le moyen de remonter le moral de quelqu’un qui va mal, mais a encore beaucoup de mal lorsqu’elle est vraiment attachée à quelqu’un à exprimer clairement ce qu’elle ressent. Les sautes d’humeur de Lolita Sanchez sont violentes et ne la rendent pas facilement compréhensibles ni rassurante, mais il faut apprendre à la connaître, il semblerait que ça vaille le coup.

_MIRΘIR MΘN BΣΛU MIRΦIR...

Olivia est jolie, elle le sait, on le lui a beaucoup répété quand elle était petite, elle en a suffisamment eu la preuve. Olivia ressemble à sa mère, une belle espagnole ; elle est grande et mince, n’a à se plaindre ni de son tour de poitrine ni de celui de ses hanches, et possède une belle peau nette, bronzée, avec quelques grains de beauté ça et là. Elle n’a le front ni trop large ni trop étroit, une mâchoire légèrement carrée, des pommettes roses, et de beaux cheveux bruns légèrement ondulés qui lui arrivent au niveau de la poitrine. Les lèvres d’Olivia sont juste assez pulpeuses et roses, et elle a un très beau sourire ; elle a des yeux de biches noisette, et de longs cils, et un joli nez fin et droit, un très joli visage. Olivia se maquille presque tous les jours. De l’eyeliner, du mascara et de l’ombre à paupière, parfois du rouge à lèvres et surtout l’indispensable anticerne – la demoiselle étant sujette à des insomnies persistantes, elle a juste d’énormes cernes affreuses et très marquées – et évite le fond de teint ; elle porte des faux ongles. Pour ce qui est du style vestimentaire, Olivia n’en a pas vraiment. Elle fait dans le chic et simple, et presque tout lui va. Ses couleurs préférées sont le noir, le blanc, le rouge, le bleu et le marron. Elle porte toujours une montre et de nombreuses bagues ; elle a les oreilles percées, mais ne porte pas souvent de boucle d’oreilles. Elle a toujours un sac avec elle, et aime les chapeaux. En bref Olivia est l’espagnole belle et chic, totalement stéréotypée.

_BIΣN PLUS ΣNCΘRΣ...

Olivia poursuit des études de Lettres, et appartient aux clubs de Théâtre et de Philosophie. Les amis proches de la jeune fille et sa famille l’appellent parfois Lola, et à partir du lycée, certains de ses camarades ont commencé à l’appeler la Junkie – admirez le niveau et l’originalité, sisi. Olivia a deux tics particulièrement agaçants : elle se ronge les ongles, et pianote sur tout ce qu’elle a sous la main. Dans son sac, la demoiselle a toujours un paquet de cigarettes, une boite de médicaments – avec notamment des somnifères et de l’extasie – et un thermos. Olivia parle couramment l’espagnol et l’anglais, et étudie actuellement les langues anciennes telles que le grec, le latin et l’ancien français.

_C' ΣST JUSTΣ UNΣ ΛFFΛIRΣ DΣ CLΛN !

Au sein de ma bande

A cause d’une malheureuse altercation entre Olivia et une autre fille il y a trois ans et son addiction à la drogue, celle-ci s’est évidemment retrouvée classée avec les rebelles de l’université, « Strange & Dangerous », et elle s’en fiche. Après tout, elle s’entend bien avec les gens de son "groupe" et au moins on ne la juge pas.

Votre vision des autres

Olivia trouve le système des fraternités et sororités tout à fait stupide, inutile, mais ne compte pas pour autant rejoindre les anti-confréries. Elle, elle ne se prive pas de faire connaissance avec qui que ce soit, et si quelqu’un lui est sympathique, ce n’est pas son appartenance à une quelconque catégorie qui va l’empêcher de sympathiser. Et puis en fin de compte, ça crée des ragots, des embrouilles, ça met de l’ambiance et c’est pas plus mal.

_TΘUT ΣST QUΣSTIΦN D' ΛFFINITÉS !

Pour commencer, Olivia ne déteste personne, parce qu’elle est incapable de haïr qui que ce soit vraiment – et elle a essayé pourtant, parfois, mais faut croire que c’est pas dans ses processus chimiques. Les amis, c’est un peu compliqué aussi, elle en a peut-être, ou pas, elle ne sait pas bien, le problème c’est d’être sûre, et on n’est jamais sûr de rien, mais au moins, elle a son "grand frère". Olivia est orpheline, vit depuis ses sept ans avec sa grand-mère qu’elle adore. Des histoires d’amour, elle en a eu oui, mais jamais de vraiment sérieuses, très souvent des coups d’un soir. Olivia a beaucoup de mal à se fixer avec quelqu’un, car elle n’arrive pas à exprimer ce qu’elle ressent vraiment. De par son physique, il ne lui est pas difficile de s’approprier la personne de son choix, mais il est nettement plus difficile de la garder. Olivia ne fait pas de différence de sexe, peut aussi bien s’amouracher d’un garçon que d’une fille, mais à une légère tendance à tomber en adoration devant des – soyons vulgaires, rien qu’une fois – salauds ou des personnes déjà prises, pouvant avoir des orientations et des goûts sexuels auxquels elle ne correspond pas. Elle n’est pas souvent tombée amoureuse, et sa plus longue relation n’a duré que deux mois ; et aujourd’hui, elle attend encore le prince charmant ou bien celui qui cèdera à chacun de ses caprices et lui offrira attention constante et protection.

_INFΘS CΛSTING .

Mais qui est ce sur l'avatar?

Et qui joue ce personnage?

Votre Age ?

Un exemple de RP

Spoiler:

Avis,commentaires,suggestions a propos du forum?

Multicomptes?

Ou avez vous connu le forum?

Code?

Spoiler:

Bienvenue !!!

soit la bienvenue parmi nous Very Happy

, ravie que nous aies rejoins ^^
merci pour ton implication dans ta fiche I love you

et merci aussi pour le compliment à propos du forum, ça fait toujours plaisir =)
alors j'aime bien ton originalité même si j'avoue que personnellement j'ai eu des difficultés à rester tout le temps accrochée pendant la lecture de son histoire, j'avoue je me suis perdue avec la partie de rosa et rosa, car j'ai rien compris Embarassed

le reste j'ai trouvé parfait =D et j'aime beaucoup ton perso, très réaliste, pas parfaite quoi amoureux

je te valide of course et j'espère que tu t'amuseras bien parmi nous Wink

Oh oui moi aussi l'histoire, en me relisant j'ai réalisé que ça partait en cacatoès 'o'
Ca m'arrive souvent, hihihi /BAFF/
Hem. Sinon, merciiiii 8D
[ Et Bonne Année aussi, bien sur ! <3 ]

lol XD c'est vrai que c'est compliqué de suivre mais c'est vrai aussi que tu y as inclus beaucoup de détails,ce qui est une bonne chose ^^
de rien et merci Olivia L. Sanchez [Terminé] 813544

**Wade D. Johnson**

Bienvenue parmi nous! Ton personnage m'intrigue et le choix de la célébrité est excellent ♥ Je vais lire ta fiche au plus vite, je suis un peu chamboulée par les fêtes! En tout cas, merci pour les compliments sur le forum =)

Merci beaucoup Very Happy

!

Super ^^ une de plus parmi nous, les Dangereux de cette école !! ^^ au plaisir de rp avec toi !!

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