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"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]

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"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] Vide
MessageSujet: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptySam 5 Sep - 14:16

    ▬"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."

"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] 090627020653237874"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] 464825anigifgg
"Le plaisir est
l'ennemi du bonheur."


    Chris avait fait la fête toute la nuit enfin comme d'habitude. Il était si bien qu'il ne voulait pas se lever. Il se retourna, il sentait de la chaleur et il s'aperçut qu'il tenant le bras d'une demoiselle qui ne connaissait pas. Il essaya de se lever tout doucement pour ne pas réveiller la jeune fille. Il regarda autour de lui. Il était dans un appartement aux couleurs clairs qu'il ne connaissait pas du tout. Il essaya de se souvenir de la soirée mais rien ne lui vient à l'esprit. Il devait surement être dans l'appartement de la fille brune qui était en train de dormir sur le lit.Bilan : Il était dans un appartement qui ne connaissait pas : MAUVAIS, il avait la gueule de bois : MAUVAIS, il ne se souvient pas de la soirée : MAUVAIS, il se réveille à côté d'une jolie fille qu'il ne connait pas : BON ET MAUVAIS, il est à poil : MAUVAIS et s'il ne se dépêche pas il sera en retard pour les cours : MAUVAIS. Comme d'habitude il y avait toujours plus de MAUVAIS que de BON. Il ramassa ses affaires puis il s'habilla une fois prêt, il quitta l'appartement sur la pointe des pieds. La plupart des fêtes auxquels Chris participait finissait pour la plupart comme cela. Chris commençait à avoir l'habitude de tous ses mauvais.

    Il se retrouva dans une rue qu'il ne connaissait pas vraiment, dans de beaux quartiers. Depuis quelque temps son sens de l'orientation avait augmenté enfin à force que tous les matins il se retrouve dans une rue différente l'entraîne un peu. Il regarda l'heure, il était 10h et les cours avaient déjà commencé depuis deux heures. Tan pis quelques heures loupées de plus ne changeraient rien à sa situation. Il alluma une cigarette pour se remettre les idées en place. Après 20 minutes de marche il reconnut enfin l'environnement qu'il se trouvait autour de lui. Il rentra chez lui pour mettre des vêtements propres puis il alla enfin à l'université.
    La cour et les couloirs étaient complètement déserts. Il regardait dans les classes quand il croisa le directeur dans un des couloirs. *M***e il manquait plus que cela*

    -M. Warner dans mon bureau tout de suite.

    Chris avait qu'une envie c'était partir d'ici, mais il suivit quand même le directeur une fois dans son bureau il soupira.Sa journée commençait mal vraiment mal. Pourquoi Chris trouvait toujours le moyen de se faire remarquer ? Après 20 minutes à écouter le directeur parlé enfin si on peut dire cela, car pour Chris ce n'avait été que du blabla incessant, il se dirigea vers son prochain cour de marketing. La sonnerie sonna et Chris alla rejoindre sa classe heureusement que pour lui le cour venait juste de commencer. Tous les élèves étaient déjà installés et le professeur n'était pas encore arrivé. Chris jeta un rapide coup d'oeil dans les rangs pour voir qui était là. Son regard s'arrêta sur Mlle Mcphee une ZBZ. Cette fille l'attirait non pas parce qu'elle est belle, mais parce qu'elle le rejette. Une place derrière elle était libre. Chris était content, car il allait pouvoir l'embêter et comme souvent dans ce genre de situation un sourire victorieux se dessina sur ses lèvres. Il allait s'asseoir quand un autre garçon s'assit à sa place. Il ne voulait pas qu'Elisabeth gagne si facilement alors il dit :

    -Je te donne 200 $ si tu t'assois à cette place là lâcha Chris au garçon tout en montrant du doigt une place libre au fond. Sans hésiter celui-ci lui laissa la place. Tout en allant s'asseoir il dit à Elisabeth en chuchotant dans son oreille.

    -Coucou jolie brune.


    Il l'appelle toujours comme ça c'est un surnom ridicule qui lui à donner un jour alors qu'il était saoul il devait surement l'avoir prise pour quelqu'un d'autre. Il s'asseyait. Le cour était ennuyeux alors pour passer le temps Chris commençait à faire des boules de papier. Si sa mère voyait ce que Chris fessait avec le papier qu'elle lui a acheté elle aurait surement eu une crise cardiaque et son père aurait surement rigolé vu que ce n'était pas lui qui payait. Son regard traversait les tables puis sans vraiment réfléchir il prit une boule de papier et la lança sur Mlle Mcphee. Il n'avait pas pu se retenir, c'était trop tentant. La présidente des ZBZ ne broncha pas alors Chris lui relança une boule de papier. Il avait l'impression de retourner en enfance. Il était triste de ne pas avoir des tartes à crèmes sous la main cela aurait été plus drôle et la vengeance aurait été meilleur.
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"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] Vide
MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptySam 5 Sep - 16:22

    Lorsqu'Elisabeth entendit la sonnerie de son réveil retentir dans sa chambre sombre et silencieuse, elle n'ouvrit pas les yeux, pas plus qu'elle ne les referma. Voilà déjà plusieurs longues minutes qu'elle était réveillée, mais qu'elle n'avait pas ressenti le besoin de se lever. Tout en posant les pieds sur le sol, la demoiselle se frotta vivement les yeux, puis exécuta quelques mouvements rapides, pour que son corps puisse suivre le rythme. Eli' n'avait pas fait la fête la veille, et pour cause, elle avait un contrôle en maths qu'elle ne devait rater sous aucun prétexte. Elle s'habilla vivement, tout en enfilant un débardeur à carreaux & un short, après avoir vérifié qu'il faisait assez chaud pour cela. Puis elle fit un tour dans sa salle de bain, se maquillant rapidement (mais jamais à outrance, bien entendu), mangeant et relisant pour la centième fois son cour de mathématique. De toutes manières, elle aurait une excellente note, comme d'habitude. Elle n'avait même pas besoin de revoir son cahier puisqu'elle connaissait déjà toutes les formules par coeur. Bref, jusque la rien d'inhabituelle. A vrai dire, les journées d'Elisabeth se suivaient et se ressemblaient la plupart du temps, mais elle était bien dans son petit train-train quotidien, et elle ne l'aurait changé pour rien au monde. Elle aimait son "nouveau" rôle de présidente, elle adorait ça même, se sentir importante et pouvoir, de manière concrète, aider ses soeurs et sa confrérie bien-aimée. C'était ainsi qu'elle se sentait vraiment vivante, et bien dans ses baskets/ballerines ! Juste avant de partir pour l'université, elle revérifia que tous ses cahiers nécessaires se trouvaient dans son sac, puis elle prit son manteau et ferma sa porte. Elle commençait sa journée par une heure de trou, et devait retrouver ses amies devant le bahut. C'est ce qu'elles firent donc, trainant & bavardant, rigolant et s'amusant, se décontractant avant d'aller en cours. C'était ainsi presque tous les matins, sauf quand l'autre abruti de Chris s'amusait à les rejoindre et à sortir une ou deux remarques totalement sans interêt. Mais Elisabeth avait beau être intelligente et mature, il lui arrivait de retomber en enfance lorsqu'il s'agissait de cet homme. Allez savoir pourquoi ! C'est donc avec un grand sourire et un immense soulagement qu'elle remarqua qu'il n'était pas là ce matin.

      « Il doit encore être en train de cuver son alcool dans son pieu, cet imbécile. Etrangement, je me dois de remarquer qu'il ne me manque absolument pas ! » répondit-elle à une question de son amie au propos de Chris.


    Les filles s'esclafèrent, se rappelant de quelques mauvais souvenirs au propos du jeune homme. Elles parlèrent aussi, à juste titre, des KAPPA TAU GAMMA, qu'elles ne pouvaient supporter. La relation entre les ZBZ & les KTG n'avait jamais été de tout repos. Les filles les haissaient presque, les comparant à des poulets sans cervelles uniquement guidés par leurs phéromones, et ce n'était pas totalement faux. Les mecs, par contre, appréciaient les ZBZ, et ce uniquement car elles étaient belles, bien foutues, et généralement pas totalement stupides. Ils agissaient donc comme des adolescents en manque de calins à leur égards, ce qui ne leur plaisait pas. Et surtout au sujet d'Elisabeth. Dire que le président ne cessait d'embêter la présidente, s'en était presque comique ! Eux auraient pu montrer l'exemple, mais au contraire, ils agissaient l'un avec l'autre comme des adolescents ! La cloche sonna fortement, indiquant l'heure du cours de maths, et coupant les filles dans leurs bavardages. Elles se séparèrent pour chacune rejoindre leur cour respectif. L'heure fut longue et sans grand intérêt, Eli se contentant de calculer et de recopier des formules dont elle n'aurait sans doute jamais usage dans sa vie future. Une seconde fois, la cloche retentit. Elle n'avait aucune envie d'arriver à la bourre à son cours de marketing, ce n'était pas le moment de mal se faire voir des profs. Elle finit donc le plus rapidement possible sa copie, tout en sachant pertinemment qu'elle aurait un 20 (ou peut être un 19, si la chance n'était pas de son côté). Elisabeth sourit en voyant son amie Calista assise à une table, et s'installa à ses côtés. Tout allait bien dans le meilleur des mondes jusqu'à présent, le prof était à la bourre, et visiblement, cet imbécile de Chris Warner n'était pas là. La demoiselle émit un petit soupir de satisfaction, très vite stoppé lorsqu'elle vit le jeune homme arriver dans la classe, tous sourires en lui jetant un petit regard ironique. Eli résista heureusement à la forte tentation de se frapper la tête avec sa main, comme pour se réveiller d'un mauvais rêve. Et elle eut encore plus envie de le faire lorsqu'il s'installa derrière elle. Et c'était parti pour une heure de cauchemar !

      « Coucou jolie brune. » lui lança-t-il.


    Elisabeth soupira mais ne répondit rien, elle avait apprit avec le temps que l'indifférence était la meilleur des armes face à lui. Dès qu'elle commençait à répondre et à s'énerver, elle procurait un certain plaisir à Chris, car elle savait que c'était ce qu'il voulait. Et pour rien au monde elle n'aurait aimé lui faire plaisir ! Le prof arriva enfin, s'installant à son bureau comme chaque fois qu'ils se voyaient, et commençant son cours d'une manière plate et morne, digne d'un prof. Eli tentait de se concentrer, prenant des notes lorsqu'elle jugeait cela intéressant pour le futur, lorsqu'elle sentit un petit bout de papier frôler sa peau. Elle faillit se retourner, mais en réfléchissant une seconde, elle sut directement de qui il s'agissait. Franchement, qui était assez idiot pour jeter des boulettes de papier, qui avait bêtement perdu 200 dollars pour se trouver derrière elle ? Une seule personne réunissait ses deux conditions et il s'agissait bien sur de Chris. Pff quel crétin ! Elisabeth l'ignora une fois de plus, reprenant son cours, mais une deuxième parvint juste au niveau de son cou, la faisant frissonner. Cette fois, s'en était trop ! Elle le fixa dans les yeux, puis lui dit, d'une voix un peu trop forte pour un cours de marketing :

      « Espèce d'idiot, t'en es vraiment fier de ce que tu fais là ? C'est même pas digne d'un gamin de cinq ans ! »


    Un étrange silence s'installa dans la salle, tous n'avaient d'yeux que pour Elisabeth qui ne s'en rendait même pas compte. Puis une petit main sur son bras la force à sa retourner, et elle remercia Calista du regard. Heureusement que la demoiselle était là pour elle, sinon elle aurait continué à gueler, s'attirant les foudres du professeur. Le temps semblait arrêté, Monsieur Brown (qui enseignait les cours de Marketing) la fixait lui aussi, cessant de parler comme si quelque chose de bizarre s'était abattu sur la salle entière. Seul Calista ne la regardait pas, mais jetait parfois quelques regards à droit et à gauche pour savoir si ça se débloquait un peu. Cette situation aurait pu faire rire Elisabeth si ce n'était pas d'elle qu'il s'agissait, et elle imaginait très bien que Chris devait bien rigoler, la bas derrière, mais bien sur, sans que ça ne se voit trop. Quel faucul, décidément !

      « Un problème peut-être, mademoiselle McPhee ? » lui lança-t-il.


      « Rien qui ne vous concerne monsieur Brown, maintenant ça va mieux. Désolée d'avoir perturbé votre cours, vous pouvez recommencez ! »


    Elisabeth savait que cette question ne la visait pas elle seule, bien que son nom ait été cité dans la phrase. Le prof voulait savoir ce qui se passait entre elle et Chris, mais elle remarqua bien vite que le jeune homme ne comptait pas dire quoi que ce soit. Il restait dans son coin, la laissant aux yeux de tous. Monsieur Brown lui lança un regard étrange, qu'elle ne sut déchiffrer, puis il continua son cours, rappelant l'attention de toute la classe. Ouff, Elisabeth s'en était bien sortie et n'avait pas été virée, tant mieux. Elle n'aimait pas se faire sortir de la salle, car elle ratait la majorité du cours, mais surtout car elle n'avait pas envie de se retrouver une fois de plus face au directeur. Maintenant, il la connaissait et ne lui faisait plus vraiment de cadeau. Mais lorsqu'il s'agissait de Chris, elle ne parvenait pas à se contrôler. Bref, histoire de lui faire comprendre que ça suffisait, ses enfantillages, elle se retourna une dernière fois, et murmura :

      « Maintenant j'en ai marre, Chris, ça suffit ! Lâche moi les Baskets Okey ! »


Dernière édition par Elisabeth D. McPhee le Dim 6 Sep - 13:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptySam 5 Sep - 16:51

    ▬"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."

"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] 090627020653237874"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] 464825anigifgg
"Le plaisir est
l'ennemi du bonheur."


    Ce qu'il fessait était stupide et presque s'en intérêt. Lorsqu'il lança la deuxième boule de papier sur Elisabeth il pensait qu'elle allait faire comme la première fois, elle allait surement l'ignorer pour ne pas lui donnée un petit plaisir. Il comptait bien lancer autant de boulette qu'il en faudra pour qu'Elisabeth s'énerve, il avait même des répliques toutes prêtes à lui lancer. Il avait presque tout prévu ce qui en était presque ennuyant. Alors qu'il allait lancer une troisième boule de papier Elisabeth se retourna et contre toute attente s'énerva. Celle là Chris ne l'avait pas vu venir, vu qu'il était sûr qu'Elisabeth tiendrait jusqu'au bout. Il trouvait cela presque trop simple comme si elle l'avait fait exprès.

    - Espèce d'idiot, t'en es vraiment fier de ce que tu fais là ? Ce n'est même pas digne d'un gamin de cinq ans !

    -Et de s'énerver comme cela non plus dit-il avec un petit sourire.

    Toutes les répliques sanglantes, qu'il avait prévu pour elle n'avait plus rien d'être. Cette fois-ci Elisabeth l'avait devancé, mais pas pour longtemps. Il savait qu'il devait montrer l'exemple à ses frères, mais même s'il était le président il ne pouvait pas se retenir. Chris n'avait pas remarqué que tout le monde les regardaient. Le professeur ayant marre de voir son cours s'arrêter comme cela décida d'intervenir.

    - Un problème peut-être, mademoiselle McPhee ? lança-t-il.

    - Rien qui ne vous concerne monsieur Brown, maintenant ça va mieux. Désolée d'avoir perturbé votre cours, vous pouvez recommencer !


    Chris savait très bien que la question n'étais pas destiner qu'à Elisabeth, mais il préféra ne pas intervenir. Il fit vite tomber toutes les boulettes de papier dans son sac pour pas que le professeur voie qu'il en avait. Il avait presque oublié celle qu'il tenait dans la main, il la lança sur un intello puis il fit comme si de rien était.

    - Maintenant j'en ai marre, Chris, ça suffit ! Lâche moi les Baskets Okey !


    -Hum...laisse-moi réfléchir...non ! Pourquoi je te ferais ce plaisir-là ?

    Si elle croyait que Chris allait lâcher aussi facilement elle avait tort. S'il voulait encore l'embêter il fallait qu'il trouve autre chose que les boulettes de papier. Il pensait peut-être qu'il pourrait faire croire au professeur qu'Elisabeth est fait une connerie, mais laquelle ?
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"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] Vide
MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptySam 5 Sep - 17:19

    Contrairement a ce qu'elle disait, Elisabeth était encore capable d'en supporter beaucoup, elle n'en avait juste pas envie. Surtout pendant le cours. Autant à l'extérieur, elle s'en fichait un peu, voir même entrait dans son jeu, mais là c'était hors de question. Encore une fois, elle lui offrait son petit plaisir, mais peu importe : tant qu'elle essayait de le ramener à la raison ça allait. Même Eli ignorait ce qu'elle espérait en lui demandant d'arrêter, comme s'il allait le faire, ce n'était pas du tout son genre. Mais qui ne tente rien n'a rien ! C'est donc car elle savait à quoi s'attendre que la demoiselle ne fut aucunement surprise de la réponse négative de Chris. Et il avait le culot de lui demander pourquoi ! Pourquoi il devait arrêter de la faire chi**. Elisabeth, quand à elle, pensait que la véritable question était : Pourquoi il essayait de la saouler ainsi, et pourquoi il n'arrêtait pas ! Chacun son point de vue, n'est-ce pas ?!

      « Peut-être parce que je n'ai rien fait pour mériter ça, et puis parce qu'on est en cours et qu'on est censé écouter et prendre des notes. Tu sais ce que signifient ses deux mots ? Non bien sur, tu n'en as pas la moindre idée ! Voilà qui ne m'étonne pas de toi. Mon pauvre vieux, que vas-tu faire de ta vie ?! » répondit-elle d'un ton méchant et méfiant.


    Elle savait aussi qu'il trouverait une bonne réponse à cette phrase, il avait toujours réponse à tout. Ca, c'était très, très agaçant, mais heureusement, Elisabeth n'était pas mal non plus dans ce genre là. Elle avait pour habitude de ne jamais rien laisser passer, et étrangement, d'habitude, elle était connue pour son calme légendaire. Et aussi pour sa gentillesse envers ses soeurs et nombreuses autres confréries. Malgré son rôle de présidente, Eli était l'une des seules à ne pas se fier (ou très peu) aux noms des fraternités et sororités, mais plutôt aux personnes. Elle aimait apprendre à connaître les gens, qu'ils soient ZBZ ou même KTG. Elle n'avait aucun préjugé de la sorte, du moins très peu, même s'il lui arrivait d'en parler avec ses soeurs, pour se marrer. C'est pourquoi, elle aurait été capable d'être amie avec Chris. Mais bien sur, dans ses conditions là, c'était hors de question ! Elle connaissait un peu ce jeune homme, ou du moins, il lui arrivait de lui parler comme ça ses moments là, et elle s'était faite une bien basse opinion de lui, pensant que c'était le genre de type à avoir des réflexions et d'agir comme un gamin de cinq ans. De plus, il ne pensait qu'au sexe, couchant avec la première venue lors des soirées. C'était d'ailleurs à une fête qu'ils s'étaient rencontré. Chris s'était bourré la gueule dès les premières minutes, enchainant verres sur verres, et il s'était approchée d'Elisabeth, l'appelant "Belle brune". Depuis, il la nomme toujours ainsi, comme s'il était fier de cette fête. Il l'avait donc appelée comme ça, et la jolie demoiselle s'était donc retourné, pour voir qui lui avait adressé la parole. Elle était tombée sur un assez beau jeune homme, qui lui plaisait physiquement, mais très vite son attitude l'avait dégoutée. Elle l'avait donc remballée bien comme il faut, lui demandant d'aller cuver tout l'alcool qu'il avait ingurgité avant de revenir ne serait-ce que lui adresser la parole. C'est sans doute cet aspect "je ne me laisse pas faire" qui avait plu à Chris. Quoi qu'il en soit, depuis ce fameux jour (ou cette soirée), il n'arrêtait pas de la faire chi**. N'attendant même pas la phrase de réplique du jeune homme, elle enchaîna, très rapidement :

      « Dis moi, comment ça se fait que tu sois aussi en retard ? Attends, je crois pouvoir deviner. Aaah je sais, t'étais en train de cuver tout l'alcool que tu as du boire hier (je devine que tu étais comme une lavette, dans un état effroyable), dans les bras d'une femme que tu ne connaissais pas, c'est sur ! Alcoolique invéteré et baiseur de ses dames, ça me fait pitié. » répliqua-t-elle.


    Elisabeth soupira et se retourna de son côté de la table, en voyant Callista éclater de rire. C'était bien comme ça qu'elle voyait la plupart de KTG, mais comme elle n'aimait pas comparé une personne à tout un groupe, elle préférait ne pas se faire de préjugés de la sorte. Ca n'aurait pas été très sympa pour les autres, d'être vu comme des salauds qui ne pensaient qu'à boire, puis à coucher avec la plus jolie fille à l'horizon. En sortant de ses pensées, la belle remarqua que Monsieur Brown la fusillait du regard, aussi elle décida de ne plus se retourner, à moins que ce ne soit une question de vie ou de mort (ou plus grave encore). De toutes manières, aucune réponse de Chris ne vaudra quoi que ce soit, et encore moins qu'elle se fasse mal voir du prof. Elle connaissait Monsieur Brown, du moins pas personnellement, mais il l'avait déjà eut plusieurs fois en cours. Il savait à quoi s'attendre avec elle, aussi rien ne le surprendrait, sans aucun doute. Quand à Elisabeth, elle se permettait parfois quelques familiarités à son égard, comme en sortant une ou deux vannes dans ses cours, à voix hautes. Il lui faisait des remarques quelques fois, mais il avait toujours été l'un des rares professeurs à ne jamais l'avoir viré de son cours. Et pour ça, Eli lui en était très reconnaissante. Elle continuait à prendre des notes, tout en se demandant intérieurement ce que Chris allait encore trouver pour la saouler. Elle songea à de nombreuses choses, parfois stupides et bien digne de cet homme, parfois plus intelligentes. Mais toutes lui faisaient aussi "peur" les unes que les autres. Elle avait pensé à des trucs du genre : lui jeter de l'encre dans le dos, ou alors faire circuler une rumeur débile sur elle. Et dire qu'un jour, Jeff avait péter un cable quand Chris s'était approché de sa bien aimée, mais non pas car il la faisait chi** la plupart du temps, mais car il pensait qu'il se passait quelque chose entre les deux jeunes gens ... ridicule de stupidité !

    Chris et elle était des personnes totalement opposés. Ils ne se ressemblaient en rien. Ni moralement, ni physiquement. Quand l'un s'amusait à faire des boulettes de papier en cours, l'autre prenait des notes; quand l'autre révisait comme une folle pour un contrôle, l'un couchait avec une inconnue, un mal de crâne pas croyable pour avoir trop bu la veille. Je ne dis pas qu'Elisabeth ne buvait jamais, non bien sur, il lui arrivait aussi souvent de faire la fête jusqu'à pas d'heure et de boire un petit peu plus que nécessaire, mais elle ne s'était jamais retrouvée dans un état pitoyable, et elle n'avait jamais couché avec un parfait inconnu (enfin si, ça lui était arrivée une seule et unique fois). De plus, elle savait ce que signifiait le mot "amour" et si elle faisait ça, elle s'en voudrait toute sa vie. Chris, lui, en avait plutôt rien à péter. Il considérait les femmes comme des objets sexuels, et ça s'arrêtait là. Autant vous dire, donc, que leurs différences étaient plutôt multiples, beaucoup trop nombreuses pour qu'ils puissent bien s'entendre, et même trop nombreuses pour que l'un des deux face le premier pas. C'était déjà bien qu'il soit capable de s'adresser la parole sans toutefois se taper dessus (ce qui risquait fort d'arriver dans l'heure de cours, mais dans ce cas là, même si Eli se faisait virer, Chris l'accompagnerait). Bref, totalement plongée dans ses pensées, la demoiselle n'écoutait plus vraiment le cour, pas plus qu'elle ne prenait de notes. Tant pis, ce n'est pas comme si cinq minutes de marketing raté allait faire baisser sa moyenne.


Dernière édition par Elisabeth D. McPhee le Dim 6 Sep - 13:30, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptyDim 6 Sep - 13:22

    ▬"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."

"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] 090627020653237874"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] 464825anigifgg
"Le plaisir est
l'ennemi du bonheur."


    *Pourquoi les femmes étaient aussi compliquées et surtout les filles de la fraternité ZBZ et puis pourquoi elles se sentent toujours obligé de nous rabaisser et de nous juger ? On est aussi bien que ses saletés d'oméga chi !*pensa très fort Chris. Il détestait leur point de vue et avait dire il leur parlait seulement parce qu'elle était plutôt jolie et surtout pour les voler au Omega Chi. Il lâcha un petit rire en repensant à l'histoire des soeurs jumelle O'connor et surtout à la tête des Oméga Chi. Dans toutes ses pensées il avait presque oublié Elisabeth.

    -Peut-être parce que je n'ai rien fait pour mériter ça, et puis parce qu'on est en cours et qu'on est censé écouter et prendre des notes. Tu sais ce que signifient ses deux mots ? Non bien sûr, tu n'en as pas la moindre idée ! Voilà qui ne m'étonne pas de toi. Mon pauvre vieux, que vas-tu faire de ta vie ?! » Répondit-elle d'un ton méchant et méfiant.

    -Je ne sais pas vraiment c'est ce qui est excitant, que ferais-je de ces deux mots qui sont que pour moi que du blabla ? Je préfère m'amuser tan que j'en ai l'occasion moi au moins je n'aurais pas de regrets quand j'aurais 50 ans dit-il en rigolant et en insistant bien sûr le mot moi.


    Chris détestait aussi le fait qu'elles les prennent pour des débiles, elles sont presque aussi stupides que le groupe anti-confrérie de penser qu'ils sont stupides. Après tout on ne choisit pas un livre pas sa couverture et puis ce n'est pas parce que les KTG boivent et couche avec n'importe quelle filles qu'ils sont débiles ! Il avait presque envie de se mettre en colère contre Elisabeth, mais il essaya de se contrôler. Pfff....rien que penser à tout cela lui donnait mal au crâne. Pour que la colère qui était en train de monter en lui cesse il commença à taper avec son stylo contre la table.

    -Dis moi, comment ça se fait que tu sois aussi en retard ? Attends, je crois pouvoir deviner. Aaah je sais, t'étais en train de cuver tout l'alcool que tu as du boire hier (je devine que tu étais comme une lavette, dans un état effroyable), dans les bras d'une femme que tu ne connaissais pas, c'est sur ! Alcoolique invétéré et baiseur de ses dames, ça me fait pitié.


    Ce qu'elle venait de lui dire donnait envie de rire d'ailleurs ses copines ne se gênèrent pas. Forcément Elisabeth était presque sur de remporter ce combat la vu qu'elle à deux copines pour l'épauler. Celle-ci n'attendit pas la réponse de Chris et se retourna. Chris se fichant complètement si elle l'écoutait ou pas lui répondit :

    -Contrairement à toi ce qui me fait pitié c'est toi. Tu voies toi tu penses à ton futur à ce que tu feras plus tard et avec qui, tu enregistres ta vie dans les moindres détails, tes journées sont devenues toutes les mêmes... je trouve que cela n'a aucun intérêt. Tu ne vis pas le moment présent et je ne sais pas si tu le sais, mais on a qu'une fois dans sa vie 19 ans et puis si tu calcules toute ta vie va rapidement devenir ennuyante, ou sera l'adrénaline, le piment ?


    Il n'en revenait pas c'était un des plus gros discoure qu'il n'avait jamais dit à une Zeta bêta Zeta et à la présidente qui plus est. Cela lui fessait tout drôle car il avait l'impression d'être dans une série TV ou tous les personnages disent les quatre vérités des autres personnages. C'était vraiment bizarre.. Il se demandait bien ce qu’Elisabeth allait lui répondre surement quelque chose comme les études… elle avait du surement mal le prendre. Bon au moins ses saletés avaient arrêté de rire.

    -Tu sais je n’ais jamais compris ce que vous Zeta Beta Zeta trouver au Oméga chi ? Vous voulez vraiment finirent vos jours avec ses mecs ennuyeux ?
    dit-il ironiquement.

    Ne voulant pas se disputer avec elle il avait préférer essayer de changer de sujet. Bon d’accord un moment ou un autre Elisabeth s’en rendra compte et voudra reprendre cette discussion qui tournera surement au vinaigre.


Dernière édition par Chris D. Warner le Dim 6 Sep - 15:41, édité 3 fois
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"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] Vide
MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptyDim 6 Sep - 16:24

    La réponse de Chris ne tarda pas, et il insista sur le fait que lui, au moins, s'amusait et n'aurait pas de regrets par la suite. Mais si pour lui le mot "s'amuser" signifiait boire à qui mieux mieux et coucher avec la première venu, alors Elisabeth n'avait aucune envie de s'amuser. Son amoureux lui suffisait amplement, tant sur le point sexuel qu'intellectuel, elle l'aimait tout simplement et n'avait aucune envie de le tromper. Jamais elle ne pourrait faire une chose comme celle là d'ailleurs, elle s'en voudrait bien trop jusqu'à la fin de sa vie, et c'est ainsi qu'elle pourrait avoir des regrets par la suite. De plus, il disait ça en rigolant comme s'il en était fier. Il lui faisait de plus en plus pitié. Pour Eli, s'était même presque inconcevable que des gens n'aimaient pas avoir des sentiments. Elle n'aurait jamais pu vivre de cette manière, sans éprouver pour quelqu'un ce qu'elle éprouvait pour Jeff, ça lui semblait totalement pas naturel, superficiel. Elle n'était pas ce genre de personne. Bref, donc comme elle l'avait deviné, cette réplique était totalement sans intérêt, aussi Elisabeth ne prit même pas la peine d'y répondre. Elle n'avait pas envie de se justifier en ce qui concernait son mode de vie, ça ne regardait qu'elle et elle seule. La demoiselle entendait le mouvement répété du stylo de Chris qui ne cessait de taper contre sa table, cela avait le don de la stresser, mais ça la remplissait aussi d'un curieux sentiment de satisfaction. Pour une fois, c'était elle qui avait réussit à énerver le jeune homme, et non pas l'inverse. Ca arrivait tellement rarement qu'Eli savoura sa victoire avec un grand sourire. Monsieur Brown lui lança une nouvelle fois un regard fixe, qui lui signifiait de se taire et d'écouter si elle ne voulait pas se retrouver dehors, mais ce n'était pas dans ses habitudes de faire exactement tout ce que les profs demandaient. Se faire bien voir, d'accord, mais finir par faire la faucul, hors de question. Ce n'était pas ce genre de fille et elle ne comptait pas le devenir.

      -Contrairement à toi ce qui me fait pitié c'est toi. Tu voies toi tu penses à ton futur à ce que tu feras plus tard et avec qui, tu enregistres ta vie dans les moindres détails, tes journées sont devenues toutes les mêmes... je trouve que cela n'a aucun intérêt. Tu ne vis pas le moment présent et je ne sais pas si tu le sais, mais on a qu'une fois dans sa vie 19 ans et puis si tu calcules toute ta vie va rapidement devenir ennuyante, ou sera l'adrénaline, le piment ?


    Pour une fois, la réponse de Chris était intéressante, voir même captivante. Elisabeth avait enfin envie de lui répondre sincèrement, d'essayer de lui faire comprendre pourquoi elle vivait ainsi et ce qu'elle voulait faire, bref elle avait envie de lui parler comme à un être humain normal, car là, il se comportait comme tel. Ce revirement lui faisait plaisir, enfin, et elle commençait à se retourner pour lui répondre, lorsqu'il lui adressa une nouvelle fois la parole, cette fois-ci d'un ton bien moins sérieux mais beaucoup plus ironique que la fois précédente, demandant à Elisabeth pourquoi les zeta beta zeta préféraient les Omega Chi aux KTG. Mais la réponse a cette question était si évidente qu'Eli avait même du mal à croire que Chris la lui ai posé. Cette fois-ci, la discussion prenait des tournures très étranges, bizarres. Plus encore lorsqu'il dit que les Omega étaient des mecs ennuyeux et sans intérêt (du moins, c'est ce qu'il semblait vouloir dire). Là, ça énerva un peu Elisabeth, qui revint sur ses envies de lui parler comme à un être humain normal. Elle n'aimait pas que l'on dise quoi que ce soit de méchant, ni sur les ZBZ, ses soeurs, ni même sur les Omega Chi, dont appartenait son petit ami. Pourquoi fallait-il que dès que la jeune femme reconsidérait Chris, il ne sorte quelque chose qui la fasse changer d'avis ? Pourquoi agissait-il toujours stupidement, au lieu de se taire lorsque c'était nécessaire ?! Toute cette situation était vraiment très étrange. Revenant sur sa décision précédente, Elisabeth décida de répondre au jeune homme, ne serait-ce que pour lui faire comprendre qu'elle n'aimait pas qu'on dise des choses sur les Omega. Mais elle ne se retourna pas, pour de nombreuses raison (elle ne voulait pas que le monsieur Brown ne lui fasse de remarques, elle n'avait aucune envie de voir le visage souriant et fier de cet imbécile ...)

      « Tu crois que nous on ne s'amuse pas, on ne fait pas de fêtes quand l'envie nous prend ? Tu ne connait rien des Zeta Beta, alors pourquoi tu parles ?! Moi, j'ai déjà entendu parlé des KTG par contre, et rien de ce que vous êtes ne m'attire. Je ne considère pas que couchez avec une inconnue peut signifier "s'amuser" ». répondit Elisabeth


    Elisabeth était conscience de n'avoir pas encore répondu à sa seconde remarque sur les Omega, mais ça, il lui faudrait attendre de s'être calmée un petit peu avant de pouvoir en parler. Elle n'aimait réellement pas du tout qu'on se permette de les critiquer sans les connaitre. Comme s'ils étaient ennuyeux, c'était vraiment la meilleure ! Eux aussi savaient s'amuser, sans toutefois tromper leurs petites amies, tout simplement car ils les aimaient réellement. Est-ce que Chris avait déjà éprouvé un petit sentiment pour quelqu'un ? Eli avait vraiment envie de le lui demander, mais elle ignorait pourquoi, elle était sure qu'il lui mentirait. Ne serait-ce que pour avoir meilleure figure auprès d'une ZBZ. Ca, c'était bien son genre. Car mine de rien, même si la jolie demoiselle n'aimait pas particulièrement Chris, ni même l'appréciait, elle commençait à le connaître un peu. Il venait souvent la faire chi** alors elle avait presque prit l'habitude de sa présence, et même s'il ne lui manquerait pas, ça lui ferait bizarre s'il ne venait plus la voir pour lui sortir une ou deux remarques stupides mais qui portaient parfois leur fruit (c'est à dire : l'énerver). Enfin calmée, Eli décida de lui répondre le plus sincèrement en ce qui concernait les Omega, c'est à dire pourquoi elles les préféraient aux KTG. Et cette réponse allait sans doute être la plus intéressante de toute la conversation, Eli ne devait donc pas se planter.

      « En ce qui concerne les Omega, tu as déjà une partie de la réponse dans ce que j'ai dit précédemment : rien de ce que vous êtes ne nous intéresse. Mais ce n'est pas tout : les Omega sont en quelque sorte nos doubles, ils aiment comme nous, éprouvent des sentiments, ils considèrent que les fêtes c'est bien, mais à condition de ne pas en oublier les études. Et c'est car nous sommes identiques que nous nous entendons bien. ». tenta de justifier du mieux possible Elisabeth


    Elisabeth était plutôt fière de ce qu'elle venait de sortir, car elle pensait réellement tout ça, et qu'elle ne se justifiait pas : elle détaillait juste ses sentiments et ce qu'elle ressentait, tant vis à vis des KTG que des Omega. Qui se ressemble s'assemble n'est-ce pas ? Et bien ses deux confréries étaient la preuves vivantes de ce dicton. Bref, c'était aussi simple que ça, il n'y avait pas à chercher compliquée. Mais Eli n'avait pas totalement terminée sa justification, il manquait une partie importante à cela pour que ce soit réellement complet. La demoiselle réfléchit longtemps avant de la dire, car elle avait peur de vexer définitivement Chris en agissant de la sorte, mais de toutes manières, elle se fichait totalement de lui. Elle éprouvait juste pour lui une sorte d'aversion totalement réciproque, alors elle pouvait bien dire tout et n'importe quoi en sa compagnie, ça n'aurait aucune incidence chez les ZBZ. Et la seule véritable peur d'Elisabeth était de causer du tort à ses soeurs : elle n'était pas présidente pour rien, et voulait le rester le plus longtemps possible tout en agissant bien.

      « Et pour finir, vous voulez être proches de nous uniquement car nous réunissons des filles jolies & bien foutues, et que vous préférez coucher avec des canons qu'avec des moches. C'est aussi simple que ça pour vous. ». continua Elisabeth


    Calista la regarda quelques secondes, lui faisant comprendre qu'elle était bien d'accord avec ça. Puis Elisabeth se tut, décidant de laisser Chris répondre. Après tout, ils parlaient tous les deux. Et il ne devait pas en avoir qu'une seul qui avait le droit d'en placer une. Ils essayaient de mettre en place un débat, alors autant se tenir à leur temps de parole & ne pas empiétrer sur celui de l'autre. Mais c'était dur pour Eli, elle aurait aimé essayer de le convaincre que les Omega n'étaient pas si ennuyeux, ni même les ZBZ. Pourtant, normalement, la miss aurait du s'en ficher totalement de ce que pensait un KTG, mais elle n'aimait pas avoir l'impression d'être mal vu des gens, qu'il soit dans une confrérie ou dans une autre. Elle n'aimait pas avoir des ennemis, elle détestait ça même. Et elle se sentait toujours le besoin de se justifier. C'était assez désagréable, surtout auprès de quelqu'un qui trouvait toujours à répondre, que ce soit quelque chose d'intelligent, ou bien de plus ironique et plus méchant. Elle ne savait plus vraiment quoi faire, et même si Calista avait parfois envie d'intervenir, il ne fallait pas. Elisabeth allait totalement perdre toute pertinence si elle n'était pas capable de se débrouiller toute seule. De plus, elle était loin d'être stupide, et elle aimait parler correctement, ou bien être un peu plus ironique, bref, c'était une fille assez littéraire dans son genre (bien qu'elle veuille faire du marketing).
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MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptyDim 6 Sep - 17:04

    ▬"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."

"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] 090627020653237874"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] 464825anigifgg
"Le plaisir est
l'ennemi du bonheur."


    Chris regardait par la vitre, il ne pensait à rien son esprit était complètement vide, il ne savait même pas si Elisabeth allait lui répondre. Il regardait le ciel et les nuages, pour s'occuper il commença à donner des formes aux nuages pour tuer le temps. Cela lui rappelait son enfance quand ils fessaient de long voyage avec sa famille avant que ses parents divorcent. Sa mère disait toujours que s'il ne voulait pas s'ennuyer il n'avait, car regarder les nuages et lui dire ce qu'il y voyait, là il ne voyait pas grand-chose juste un simple et gros nuage. Il se souvient que quand son père lui demandait ce qu'il voulait faire plus tard et Chris répondait souvent qu'il voulait être un nuage pour pouvoir voler et visiter des milliers d'endroits. À l'époque son père rigolait toujours devant sa réponse et Chris n'avait jamais vraiment compris pourquoi et quand il posait la question à son père il lui répondait qu'on ne pouvait pas devenir un nuage, mais que notre esprit pouvait devenir aussi vide qu'eux.Souvent Chris fessait une grimace vue qu'il ne comprenait pas la phrase et son père répondait souvent que c'était normal, qu'il ne comprenne pas que c'était une parole d'une de ces chansons et que c'était un truc de grand. Là son esprit était aussi vide qu'un nuage. Elisabeth le fit sortir de ses rêvasseries en répondant à sa troisième réplique.

    -Tu crois que nous on ne s'amuse pas, on ne fait pas de fêtes quand l'envie nous prend ? Tu ne connais rien des Zeta Beta, alors pourquoi tu parles ?! Moi, j'ai déjà entendu parler des KTG par contre, et rien de ce que vous êtes ne m'attire. Je ne considère pas que couchez avec une inconnue peut signifier "s'amuser »

    -Je pense que là tu es dur, je ne vous juge pas et c'est clair que vous n'avez pas la même définition que nous de faire la fête. Tu ne peux pas non plus dire quoi que ce soit sur nous, vu que comme tu l'as si bien précisé tu ne nous connaît pas. On ne fait pas que cela, s'amuser ne veut pas seulement dire alcool et belle fille en tout cas pas pour moi. S'amuser est un vaste mot, tu peu très bien t'amuser parce que tu es entre amis, on a très bien pu te raconter une blague que tu as trouvé amusante, tu as bien pu voir quelque chose de marrant qui t'amuser... Dans une fête il y a beaucoup de situation différente pour le mot s'amuser.

    Voilà que maintenant il devait définir leur fête comme s'il n'avait que ça à faire. *Elle prétend qu'on ne peut pas les juger, car on ne les connait pas, mais elle fait quoi là ?* Pff... leur relation était vraiment compliquée. Les KTG ne font pas que des fêtes ils font bien plus que cela et les définirent en trois mots l'énervaient ! Parfois il avait l'impression qu'elle devrait faire partit des antis-confréries.

    -En ce qui concerne les Omega, tu as déjà une partie de la réponse dans ce que j'ai dit précédemment : rien de ce que vous êtes ne nous intéresse. Mais ce n'est pas tout : les Omega sont en quelque sorte nos doubles, ils aiment comme nous, éprouvent des sentiments, ils considèrent que les fêtes c'est bien, mais à condition de ne pas en oublier les études. Et c'est car nous sommes identiques que nous nous entendons bien. . Tenta de justifier du mieux possible Elisabeth

    -Je pense que comme je les dits plutôt tu ne peux pas nous juger toi non plus tu ne nous connais pas et je trouve cela scandaleux de nous définir en trois mots. Pour moi sexe, alcool et fille ne nous définit pas du tout. Tu crois que je n’éprouve aucun sentiment ? Que j’ai un cœur en pierre ? dit Chris réellement vexé qu’on puisse penser de telle horreur à son sujet.

    Ce n’est pas parce que ces parents on divorcées ou qu’il n’a pas de frère ni de sœur qu’il ne sait pas aimer. On ne n’ait pas tous avec un mode d’emplois ! Enfaite Chris ne veut pas s’attacher à qui que ce soit de peur de souffrir, es-que c’est si mal que cela d’éviter d’avoir mal ? Après mûre réflexion il remarqua que il n’avait dit je t’aime qu’à sa maman et à aucune autre fille. Chris ne voyait vraiment pas ou était le mal dans tout cela.

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MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptyDim 6 Sep - 17:47

      « Dis moi maman, pourquoi les nuages se déplacent-ils toujours plus vite que nous ? C'est pas juste. Et même, pourquoi est-ce qu'il bouge ? Il n'y a personne pour les pousser, et ils n'ont pas de pieds, c'est vraiment bizarre tout ça ». demanda la petite Elisabeth


    Elisabeth se rappelait cette période de sa vie, alors qu'elle n'avait que sept ans. La demoiselle avait toujours été très curieuse de nature, et elle posait des questions sur tout ce qu'elle trouvait étrange, à la personne la plus proche d'elle. C'était généralement à sa mère, car elle lui répondait réellement, alors que son père se contentait de lui demander ce que tous ses questionnements lui apportaient mis à part un affreux mal de tête. Mais il se trompait fortement, c'était bien plus fort que ça, Elisabeth ne pouvait pas, et ne voulait pas comprendre que certaines personnes ne se demandaient pas ses choses là, si étranges. La vie, la mort, la Terre, le monde en général, tout cela ne comportait que des choses dont personne ne connaissait vraiment la réponse, et cela la laissait perplexe. Déjà petite, elle avait développé une intelligence remarquable sur tout, tant au niveau de l'école (mais à l'époque elle n'était qu'en primaire et ça ne comptait pas réellement) qu'au niveau de la vie quotidienne. Pour elle, il ne suffisait pas d'avoir des bonnes notes pour se dire intelligente et mature. Elle voulait réellement tout savoir déjà toute petite, et ne pouvait pas comprendre qu'il y avait bien des choses quelle ne découvrirait qu'en vieillissant, comme le sexe, ou l'alcool, bref toutes ses choses là qui l'intéressaient déjà toute petite. Mais à cela, ni sa mère ni son père ne pouvait lui apporter la moindre réponse que ce soit.

      « Je n'ai pas de réponse à cette question ma chérie, malheureusement. C'est le vent qui pousse les nuages et qui les fait bouger tu vois. Mais pourquoi ils vont plus vite que nous je ne sais pas. C'est pas toujours le cas d'ailleurs, ma puce ! ». répondit la maman d'Elisabeth.


    La mère de la jeune demoiselle avait toujours été fière de l'esprit éveillée de son enfant, mais son père, en revanche, trouvait cela plus énervant qu'autre chose. Quand à la grand mère de la fille, elle s'en fichait, et généralement ne prenait même pas la peine de répondre aux questions de la mignonne Elisabeth. Elle se contentait de l'élever le plus strictement possible, ça lui suffisait. Elle était là pour ça d'un autre côté, pour veiller au fait qu'elle ne soit pas trop pourrie gâtée par ses parents, qui aimaient leur fille unique plus que tout au monde, au risque de lui offrir tout ce qu'elle voulait et de lui passer tous ses caprices. Mais ce n'était pas vraiment le genre d'Elisabeth de se mettre à pleurer car elle n'avait pas tout ce qu'elle désirait. Mais sa grand mère voulait d'une petite fille élevée dans les strictes traditions anglaises, et c'est elle qui a forgée de toute pièce le caractère d'Eli. C'est ainsi qu'elle apprit à respecter tous les gens qui lui adressaient la parole, qu'elle apprit à se tenir de manière correcte et à se comporter tout simplement comme une demoiselle bien élevée.


    *********


    C'est donc principalement grâce à ses traditions qu'elle réussit à ne pas s'énerver et à réfléchir de manière plutôt correcte, répondant à Chris du mieux qu'elle le pouvait (même si c'était parfois assez difficile quand il l'a cherchait). Elle essayait juste d'être le moins vulgaire possible, car ainsi elle avait l'impression que sa grand mère, la haut, était fière d'elle. Elle espérait d'ailleurs que ce soit le cas, car même si elle avait toujours été un peu dure avec sa petite fille, c'était pour la bonne raison, et c'était surtout grâce à elle qu'elle était celle qu'elle était aujourd'hui. Tout en écoutant les paroles du jeune homme, elle regardait tantôt par la fenêtre, tantôt sur le tableau, mais il fallait avouer qu'elle avait totalement décrochée du cours. Il y avait inscrit des trucs sur le grand tableau noir, mais elle ignorait totalement de quoi il s'agissait, et même si elle entendait encore la voix de monsieur Brown, elle ne comprenait pus rien de ce qu'il pouvait bien dire. Finalement, Chris avait réussit son truc, la faisant sortir de ses habitudes. En parlant du jeune garçon, il semblait en effet scandalisé de ce qu'elle avait bien put insinuer sur les KTG. Mais le pire, c'est qu'Elisabeth ne pensait pas réellement ce qu'elle avait dit. Encore une fois, elle n'aimait pas comparer des termes à des personnes, surtout s'il ne s'agissait pas d'une seule. Mais très vite entre Chris & elle, ç'avait finit par devenir un concours de "celui qui énervera l'autre le plus facilement". C'est donc ainsi qu'ils continuaient à se parler, sans jamais écarter cela d'entre eux. Ils n'oubliaient jamais la véritable raison de leurs paroles.

      « Je te connais toujours mieux que toi tu ne me connais. Et certes, s'amuser est un vaste terme, mais je crois savoir de quoi il s'agit pour toi. Il n'empêche que je ne suis pas du tout d'accord avec toi. On peut profiter de la vie et avoir de l'adrénaline sans pour autant faire la fête tous les soirs. L'amour provoque du désir et de l'adrénaline par exemple ». répondit la belle demoiselle


    Elisabeth ne s'était toujours pas retournée et n'avait plus regardé Chris depuis qu'il lui avait balancé ses boulettes de papier, mais elle avait bien remarqué que leurs discussions avaient évolués, et étaient devenus un peu plus intelligentes et avec un plus grand intérêt que depuis l'épisode des boulettes. Cela, franchement, ce n'était pas digne d'un gamin de cinq ans. Mais bon, le jeune homme était ainsi, totalement imprévisible, et faisait parfois des choses bêtes. Mais ça finissait toujours par une grande discussion presque philosophique ou chacun défendait ses positions, et à la fin c'était toujours la même chose : personne n'en démordais. Elisabeth ne comprenait toutefois pas pourquoi Chris avait été aussi scandalisé quand elle avait dit qu'il ne pensait qu'à coucher avec des filles et qu'il n'éprouvait pas de sentiments pour elles. Après tout, c'était bien la vérité ! La demoiselle en conclut que cela l'avait touché bien plus profondément, que quelque chose avait du se passer dans sa vie, et elle songea fortement à une grande déception amoureuse. Mais cela, il ne risquait surement pas de lui en faire part, car ça ne la regardait pas vraiment. D'ailleurs, Eli se serait sentie très mal à l'aise si tout à coup, Chris s'était mis à lui déballer sa vie en se justifiant sur la raison de son emportement.

      « Monsieur Warner, Mademoiselle McPhee, j'en ai assez que vous perturbiez mon cours avec vos bavardages incessants. Soit vous arrêtez & vous parlerez à la fin de mon cours, soit vous sortez immédiatement pour ne pas revenir ! ». tonna Monsieur Brown.


    Elisabeth était si surprise par ce brusque élan de colère de la part de professeur qu'elle sursauta sur sa chaise. A vrai dire, ça faisait longtemps qu'elle ne l'écoutait plus, alors l'entendre hurler aussi fort, c'était trop ! Elle faillit répliquer de parler moins fort s'il ne voulait pas ameuter toute l'université, mais elle se retint, se souvenant de justesse qu'elle était en face d'un professeur, et non pas d'une de ses nombreuses amies. Elle ne pouvait pas se permettre d'agir avec lui comme si c'était un de ses proches. C'était ainsi qu'elle risquait des gros problèmes. Se rappelant que la dernière fois que monsieur Brown leur avait fait une remarque, c'était elle qui avait répondu, elle décida de laisser Chris se défendre avec le professeur. Elle espéra juste intérieurement qu'il n'empirerait pas les choses.
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MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptyDim 6 Sep - 18:21

    ▬"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."

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l'ennemi du bonheur."


    Leur point de vue était très différent et il savait très bien que chacun défendrait son point de vue jusqu'au bout. Il avait beau essayer il ne comprenait pas du tout le point de vue d'Elisabeth enfin en même temps il n'était pas vraiment à sa place, il n'avait pas eu la même éducation qu'elle, il n'a pas eu les mêmes valeurs... et la liste était encore longue. Comment pouvait-il faire pour comprendre quelqu'un qui est son opposé ? Il essaya quand même de se mettre à sa place seulement pour comprendre un peu mieux son point de vue. Les nuages l'apaisaient et l'aidait bien.Bon d'accord il n'avait jamais vraiment comprit ce que le mot amour voulait vraiment dire étant donné qu'il n'était jamais tombé amoureux, mais il ne traite pas non plus les femmes comme des objets. Elisabeth avait-elle trouvé son prince charmant ? Etait-ce pour cela que leur point de vue était aussi différent ?

    -Je te connais toujours mieux que toi tu ne me connais. Et certes, s'amuser est un vaste terme, mais je crois savoir de quoi il s'agit pour toi. Il n'empêche que je ne suis pas du tout d'accord avec toi. On peut profiter de la vie et avoir de l'adrénaline sans pour autant faire la fête tous les soirs. L'amour provoque du désir et de l'adrénaline par exemple

    Il ne savait pas trop quoi répondre à cela. Là elle lui avait posé une colle. Il savait très bien que faire la fête n'était pas le seul moyen d'avoir de l'adrénaline. Après avoir réfléchi pendant quelque petite minute il remarqua qu'elle venait de dire quelque chose qu'il n'avait pas dit. Quand avait-il dit qu'il n'y a qu'aux fêtes qu'on puisse avoir de l'adrénaline ? Chris connait très bien l'adrénaline et il c'est très bien comment cela agit sur vous cela en devient presque une drogue. Vous en voulez toujours plus.

    -Tu connais quoi ? Rien tout ce que tu sais sur moi n'est qu'apparence et mensonge. Attention je n'ais jamais dit et ni insinuer qu'on ne pouvait avoir de l'adrénaline qu'aux fêtes. Tu sais, je ne vais pas tous les soirs à des fêtes pour avoir de l'adrénaline il y a différente façon comme sauter en parachute d'une montgolfière dit-il en rigolant tout en repensant à la fois où il avait fait cela.

    Il s’en souvient comme si c’était hier, c’était la première fois qu’il sautait de si haut et il avait opté pour un engin qui ne vas pas trop vite c’est pour cela qu’il avait choisi la montgolfière. Il avait décidé d’ouvrir son parachute qu’à la dernière seconde et sa avait été géniale. Enfaite il avait fait beaucoup de chose qui lui avait donné de l’adrénaline, mais ses choses là était loin d’être banale comme l’amour. Après tout il te suffit juste de sortir pourvoir pleins de couple tandis que les personnes qui ont fait des choses originaux ne cour pas tout les coins de rue. Es-que Elisabeth avait été dans des situations avec beaucoup d’adrénaline autre que celle de l’amour ? Il ne savait pas vraiment, mais si elle avait fait autre chose il se demandait bien quoi ? Qu’avait pu faire la fille presque parfaite des ZBZ ?Le professeur qui devait vraiment en avoir marre d’eux s’interposa dans leur discussion.

    -Monsieur Warner, Mademoiselle McPhee, j'en ai assez que vous perturbiez mon cours avec vos bavardages incessants. Soit vous arrêtez & vous parlerez à la fin de mon cours, soit vous sortez immédiatement pour ne pas revenir ! ». tonna Monsieur Brown.

    Elisabeth sursauta ce que Chris trouva amusant, par conte lui avait juste été surpris du ton de ce dernier, mais rien d’autre. Il ne savait trop quoi répondre. Il avait juste envie de lui dire ferme ta g****e , mais il se retenait, il avait déjà eu quelque problème ce matin avec le directeur et cela lui avait amplement suffit alors il répondit d’une voix décontracté.

    -Je ne sais pas pour Mademoiselle McPhee, mais en ce qui me concerne je préfère rester même si je trouve qu’aujourd’hui le cours est vraiment nul et sans intérêt et puis je ne pense pas que cela plairait au directeur de me revoir dit-il en rigolant.

    Même s’il avait quelque différent avec Elisabeth il ne préférait pas lui donner des ennuis. Il n’était comme même pas aussi m »échant que cela et puis il espérait que ce petit temps de compassion pour Elisabeth allait lui prouver qu’il avait un cœur comme chaque humain.

[Désolé pour les fautes je dois aller vider le lave vaisselle^^]


Dernière édition par Chris D. Warner le Dim 6 Sep - 19:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptyDim 6 Sep - 19:25

      « Tu connais quoi ? Rien tout ce que tu sais sur moi n'est qu'apparence et mensonge. Attention je n'ais jamais dit et ni insinuer qu'on ne pouvait avoir de l'adrénaline qu'aux fêtes. Tu sais, je ne vais pas tous les soirs à des fêtes pour avoir de l'adrénaline il y a différente façon comme sauter en parachute d'une montgolfière dit-il en rigolant tout en repensant à la fois où il avait fait cela. ». rigola Chris.


    Il fallait dire que ce qu'il venait de dire n'était aussi que mensonge. Il n'avait certes pas dit mot pour mot qu'on éprouvait de l'adrénaline qu'au fêtes, mais il jouait sur les termes qu'il employait, et ce n'était pas en faisant le malin ainsi qu'il allait gagner contre Elisabeth, il lui en faudrait beaucoup plus. Bref donc il ne l'avait pas dit mot pour mot mais il l'avait réellement insinué, ou du moins c'était ainsi qu'Eli l'avait ressenti, et c'était généralement toujours vrai, sa première sensation. La manière de rire de Chris lui fit très largement comprendre qu'il se rappelait d'une chose qu'il avait fait et qui lui avait provoqué autant d'adrénaline que les fêtes. Des histoires de coucherie ? Ou alors des sports à risque qu'il avait put tenter ? Allez savoir ! Elisabeth se demandait ce qu'il avait bien put exécuter pour que ça le fasse autant rire, mais tellement de choses lui passaient dans la tête qu'elle ne savait pas discerner le vrai du faux. Et puis, elle n'était pas devin, elle pouvait pas savoir. Et d'un autre côté s'en ficher un peu, elle essayait de l'imaginer en train de faire pleins de trucs différents pouvant procurer de l'adrénaline juste parce qu'elle s'ennuyait et que le cours ne l'intéressait absolument pas.

    Finalement, Elisabeth se rendit vite compte qu'elle n'aurait pas du laisser Chris se débrouiller avec le professeur et qu'elle aurait mieux fait de répondre à sa place. Car quand on dit à celui qui vous enseigne votre matière principale (à savoir le marketing) que son cours est totalement ennuyeux et sans intérêt, même lorsque c'est vrai, vous risquez fort de le payer cher, très cher même, d'une manière ou d'une autre. Soit par un mot dans le carnet (mais à l'université on en était plus vraiment à ce stade là), soit par un zéro dans la moyenne, soit par être viré de cours et aller directement faire un saut chez le directeur. Elisabeth aurait tout de même aimer remercier Chris, pour la simple et bonne raison qu'il avait parlé en son nom unique, et non pas en celui de la jeune fille, lui permettant ainsi de se justifier elle aussi. Alors qu'il aurait put agir d'une autre manière, en l'enfonçant encore plus. D'ailleurs, habituellement, c'est ainsi qu'il aurait réagit. Est-ce que leurs discours l'avaient un peu fait changer d'avis, ou bien était-ce quelque chose de totalement différent ? Voulait-il juste prouver qu'il était capable d'être sympa avec elle ? Quel qu'en soit la raison, Eli lui en était assez reconnaissante. Alors qu'elle songeait à cela, monsieur Brown ordonna sa sentence (de toutes manières, on ne dit pas à un prof que son cour est nul sans représailles).

      « Si mon cours vous semble si nul et sans intérêt, je ne vois pas ce que vous pouvez avoir à faire ici. Sortez de cette salle & faites ce que vous voulez, cela ne me regarde même pas ». dit monsieur Brown, l'air totalement desespéré.


    Un nuage de murmures assombrit la salle, tous les élèves étaient totalement dispersés et quelque chose dit à Elisabeth que maintenant que monsieur Brown s'était énervé, il ne parviendrait plus à retenir l'attention de toutes les personnes présentes dans sa salle, s'était peine perdue. Mais actuellement, cela ne l'intéressait même pas, tellement il était concerné par le cas McPhee/Warner. Bref, cette situation amusait et surprenait tous les élèves ici présents, sauf Chris, qui semblait n'en avoir rien à faire. Quand à Eli, elle ne savait plus vraiment quoi faire. Le suivre dans le couloir car cette histoire la concernait et que c'était en partie de sa faute que le jeune homme s'était fait virer, ou bien faire comme si elle n'avait rien entendu, se taire et faire comme si le cours l'intéressait ? Non, elle ne pouvait pas faire ça, c'était de sa faute et elle devait en assumer les conséquences. Et puis comme ils n'étaient même pas obligé de se rendre chez le directeur, il n'y avait pas vraiment de problèmes, si ?! Malheureusement, la question qui suivait la concernait de près, et l'obligeait à faire un choix.

      « Mademoiselle McPhee, que souhaitez-vous faire ? ». la questionna monsieur Brown.


      « C'est aussi de ma faute si Chris est viré, je vais sortir aussi. ». répondit Elisabeth


    Tous les regards étaient alors portés sur elle, et monsieur Brown semblait sinon surpris, choqué de sa réponse. Sans doute ne pensait-il vraiment pas qu'Elisabeth se ferait virer de cour, juste pour un type qu'elle ne pouvait pas blairer et qu'elle n'arrêtait pas d'engueuler. Calista aussi semblait étrangement surprise, mais elle s'abstint de tous commentaires. Heureusement. La jeune femme rangea très rapidement ses affaires, et sortit de la salle à la suite de Chris, adressant un petit regard de pardon au professeur de marketing, car même si elle faisait n'importe quoi dans son cours, elle l'aimait bien, et adorait aussi la matière qu'elle enseignait. Elle se sentait mal d'avoir agit de la sorte, car monsieur Brown n'y était pour rien dans cette histoire. Mais il n'avait qu'à pas se mêler de leur affaires d'un autre côté. La porte se referma derrière eux, et ils ressemblaient à un petit couple là, tous les deux, devant la porte de la classe. Elisabeth soupira, consciente de ce qu'elle avait fait, et jeta un petit regard à Chris. Elle mourrait d'envie de lui reprocher ce qui venait de se passer, mais elle savait qu'ils étaient deux fautifs, aussi elle préféra ne rien dire.

      « Bon ... qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Si on se fait voir par un pion, il risque de nous poser des questions auxquelles vaut mieux pas qu'on répondent. On sort ? ».demanda Elisabeth

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MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptyDim 6 Sep - 19:54

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"Le plaisir est
l'ennemi du bonheur."


    Bon d'accord il cherchait les ennuis, mais de toute façon il savait très bien que quoi qu'il allait ce passer ils allaient avoir des ennuies donc après empirer la situation n'était pas si grave c'était donc pour cela qu'il ne c'était pas gêné. Le plus bizarre c'est qu'il aimait bien cette situation. Apparemment les autres élèves s'attendaient à quelque chose comme cela de la part de Chris. Chris se demandait quelle option Elisabeth allait choisir surement celle de rester en cours et de faire sa fayotte. D'ailleurs si un des KTG aurait vu cette scène ils se seraient surement tous mordu les doigts devoir un moyen de créer des problèmes au ZBZ. Enfaîtent ils s'en fichaient pas mal que les ZBZ est des problèmes, mais comme l'avait si bien justifié Elisabeth les Omega chi sont leurs doubles donc si les ZBZ ont des problèmes les Omega chi aussi. Mais Chris n'est tout de même pas aussi malsain et il préférait laisser le choix à Elisabeth sachant très bien que tôt ou tard elle s'enfoncerait toute seule, elle n'avait surement pas besoin de l'aide de Chris pour cela. Tout en attendant la réponse D'Elisabeth, Chris commença à ranger ses affaires histoire d'éviter de faire perdre encore plus de temps à son professeur.

    -Si mon cours vous semble si nul et sans intérêt, je ne vois pas ce que vous pouvez avoir à faire ici. Sortez de cette salle & faites ce que vous voulez, cela ne me regarde même pas. dit monsieur Brown, l'air totalement désespéré.


    Chris fut un peu déçut de la réponse de son professeur il aurait pensé qu'il aurait dû à un petit peu bataillé contre sa liberté la c'était beaucoup trop facile à son gout de partir comme cela, la scène perdrait tout un intérêt. Il était aussi triste, car il avait déjà prévu des répliques et de ne pas les utilisés lui fessait mal au cœur remarque si cette fois-ci il n'avait pas d'ennuis cela ne sera pas marqué dans son dossier c'est déjà cela.

    - Mademoiselle McPhee, que souhaitez-vous faire ? .la questionna monsieur Brown.


    Chris était presque sûr de sa réponse donc il se leva de sa chaise et commença à se diriger vers la porte. Quand il entendit la réponse d'Elisabeth il était content, car elle l'avait surpris, car la scène avait repris de l'intérêt et qu'il ne se retrouverait pas tout seul quoi que cela ne le dérange pas vraiment. Tout le monde avait dû penser comme Chris vu que la plupart des personnes présentent dans la salle laissèrent échapper des petits cris de stupéfaction. Il laissa passer Elisabeth devant lui puis ils sortirent tous deux de la classe.

    - Bon ... qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Si on se fait voir par un pion, il risque de nous poser des questions auxquelles ne vaut mieux pas qu'on répond. On sort ? ».demanda Elisabeth

    Même s'il avait été gentille avec Elisabeth en ne répondant pas à son nom il ne comptait pas le rester longtemps après tout ce n'est pas tous les jours Noël ! Il lui avait montré qu'il avait un cœur et cela s'arrêtait là. Même si Elisabeth était jolie il ne voulait pas vraiment ce la coltiner.

    -Toi tu fais ce que tu veux, moi je vais surement prendre une petite cigarette et j'irais surement aller faire la fête comme tu le dis si bien !


    Il partit sans même attendre sa réponse il ne voulait pas servir de baby sitter et puis lui il avait l'habitude de se faire virer de cour et elle non elle n'avait pas qu'à choisir cette option.
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MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptyMer 9 Sep - 19:54

      « Je suis désolé, je dois déménager. Mais je penserais toujours fort à toi ! Je te le promets. Ne m'oublie pas ma petite Elisa, tu as réellement énormément compté à mes yeux. N'en doute jamais. Je t'aime ». répliqua-t-il, des sanglots dans la voix.


    Elisabeth s'était sentie comme trahie, horriblement. Elle en avait souffert, de cette séparation avec Hayden, comme jamais elle n'avait souffert. Elle l'aimait réellement, et elle ne s'en était rendue compte qu'une fois qu'il était parti. Ca, c'était un peu stupide ! Il l'avait embrassé, puis c'était éloigné, petit à petit, lui tournant le dos. On se serait cru dans un réel film d'amour, ou l'acteur principal largue sa belle pour une raison ou pour une autre. Mais malheureusement, Eli avait la sensation qu'à la fin, ils ne se retrouveraient pas. Et ça, ça brisait toute la beauté de la chose. La demoiselle n'avait même pas pleuré tout de suite, elle n'avait alors pas encore réalisé la dureté de ses paroles. Il partait, il déménageait, et ce définitivement, ce qui mettrait surement une barre à leur couple. Elisabeth et Hayden, c'était fini. Réellement fini ... ! Et un jour ou l'autre, elle devrait apprendre à vivre avec cela, apprendre à respirer, à réfléchir, à être sans son amour, le premier, le seul & l'unique.

    Lorsqu'Elisabeth était rentrée chez elle, s'était les joues ruisselantes de ses larmes. Elle pleurait, mais ne voulait pas le montrer, ne voulait pas témoigner de sa douleur à qui que ce soit, ni même à ses meilleures amies de son enfance. Tout ça ne valait pas la peine, et c'était très simple : il l'avait largué, et ce déménagement lui servait, dans un sens, il lui fournissait un prétexte pour se séparer d'elle. Tout cela était clair ! Elle était mal, et voir un psychologue même lui aurait fait que du bien. Mais elle ne voulait pas en parler, et petit à petit, parvint de mieux en mieux à faire comme si de rien n'était. Ce n'était qu'une rupture parmi tant d'autres, la seule chose qui changeait, c'était qu'elle l'aimait réellement. Et c'était son premier vrai chagrin d'amour, et surtout : sa première histoire sérieuse. Tout cela l'avait marqué, tant moralement que physiquement. Elle se rappellerait toute sa vie de sa douleur, toujours ! C'était trop fort, trop intense pour qu'elle ne l'oublie en un clin d'oeil. Malheureusement !

    Hayden et elle avaient de très nombreux points communs, mais aussi d'innombrables différences. Moralement et physiquement, ils formaient le couple parfait, et étaient enviés de très nombreux jeunes qui rêvaient de rencontrer le prince charmant comme Elisabeth l'avait fait. D'ailleurs, cette dernière n'hésitait pas à s'en vanter. "Vous avez vu ce beau gosse là-bas, il est magnifique, eh bah c'est le mien !" ou encore "Hayden, je l'aime plus que tout au monde, il est à moi." Bref, le genre de remarques que l'on aime sortir lorsqu'on est jeune et encore insouciant. Il était le seul à ses yeux, elle était incapable de voir d'autres hommes. Et il lui arrivait encore aujourd'hui de penser à lui, à ce qu'il était et à ce qu'il est peut être devenu. Si ça se trouve, il était devenu riche, voir même peut être une star planétaire. Ou bien était-il pauvre et vivait-il sous les ponts ? Elisabeth se rendit compte avec effarement qu'elle ne connaissait plus rien de son premier amour. Et elle se demandait parfois se qui se passerait si elle le revoyait.

    *********


    Dans un certain sens, Chris lui faisait penser à Hayden. Ni par son physique, ni par son mental (ils étaient en quelque sorte les opposés, voilà peut-être pourquoi Elisabeth n'aime pas le jeune homme), mais par cette silhouette qui lui tournait le dos en s'éloignant, d'une manière tellement non-chalante, comme si elle n'avait rien à faire de la personne dont elle se détachait, exactement à l'identique de celle de l'autre garçon à l'époque où elle était beaucoup plus jeune. Cela insupportait Eli, et cette colère était d'autant plus grande qu'elle se déversait aussi sur Hayden, dans un sens, qui l'avait abandonné de la même manière. Même si les deux scènes n'avaient pas grand chose en commun, Elisabeth ne pouvait qu'en faire le rapprochement. C'était trop fort, et ça brillait trop lumineusement dans son esprit pour qu'elle n'y pense pas. Chris continuait à avancer, il était bientôt arrivé à la porte. Sa paume s'appuilla sur la poignée, enclenchant ainsi la voix de la jeune femme, qui porta jusqu'à lui avec une force plutôt importante.

      « Tu n'es vraiment qu'un abruti. Tu n'as pas compris que si j'étais sortie c'est parce que je me sentais coupable & que c'était en partie de ma faute. Je reconnais avoir encore exagéré dans mes paroles, mais tu n'es pas mal dans ton genre. Trop idiot pour reconnaître ses torts hein ». cria Elisabeth, les poings serrés de colère.


    S'il y avait bien une chose qu'elle ne pouvait tolérer, c'était bien les gens qui avaient trop confiance en eux (ou qui s'aimaient trop eux même) pour pouvoir reconnaître leur tort. Elle en avait la capacité, et l'avait même fait en sortant de la classe elle aussi, alors pourquoi Chris ne comprenait-il pas que c'était car elle voulait juste faire une trêve entre elle et lui ? Ou bien l'avait-il comprit mais n'en avait-il rien à faire ? Allez savoir ! Mais dans les deux cas, ce n'était pas très sympa pour Elisabeth qui faisait tout pour que les choses s'arrangent (au moins un minimum) entre eux deux. Même si cette situation l'amusait quelque peu, il arrivait des moments où elle en avait assez, et où elle voulait apprendre à le connaître. Et cet instant en faisait partie (même si elle était plus énervée qu'autre chose, il restait une petite partie d'elle plus lucide). Eli soupira, surprise de ce subit élan de frustration. Elle était pourtant connue par ses soeurs et réputée même pour son calme légendaire, et le fait qu'elle pouvait analyser n'importe quel moment (qu'il soit critique ou basique) avec la même classe, la même intelligence ... mais là, elle ignorait pourquoi, son esprit était totalement embrumé par la vision d'Hayden. Pourquoi était-ce maintenant qu'elle songeait à lui, maintenant alors que ce n'était pas du tout le moment ! De plus, maintenant, il y avait Jeff. Elisabeth l'aimait, ça c'était sur et certain, mais était-ce autant que son premier amour ? Etait-ce possible d'éprouver autant d'amour pour le premier, le véritable premier ? La belle demoiselle se posait encore cette question. Mais là n'était pas le sujet, et ce n'était pas le moment pour penser à ça.

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MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptyJeu 10 Sep - 20:24

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"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] 090627020653237874"Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] 464825anigifgg
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l'ennemi du bonheur."


    29 novembre 1996 USA, San Fransisco ; Chris 6 ans se leva et comme tous les matins regarda la télé. Son père était la étalé sur le canapé une bouteille de vodka dans la main. La télé était allumé sur une drôle de chaine, il y avait pleins de fille qui fessait pleins de chose bizarre. Au bout d’une heure la maman de Chris descendit des escaliers, le petit Chris se précipita vers elle. Il avait pleins de question qui le démangeait au quel il n’avait pas de réponse.

    -Dit,dit maman pourquoi les filles font ce drôle de truc à la télé dit Chris en montrant du doigt le salon. Sa maman avait l’air ennuyé mais elle prit comme même son courage à demain puis elle répondit en souriant.

    -Sa ce n’est rien tu comprendras quand tu seras plus grand.

    -Dit ! Dit maman pourquoi les filles pleurent et s’énervent tous le temps ?
    dit Chris qui ne comptait pas en rester là.

    -Pour différente raison elle pleure peut être parce qu’elles sont triste ou qu’elles sont en train de vire un moment difficile
    dit sa maman qui en même temps se perdait dans ses pensées elle pensait surement à son couple.

    -Et pourquoi elles s’énervent ?dit Chris d’une voix penaude

    -Peut être parce que tu as fait quelque chose de mal ou que tu as mal interpréter quelque chose venant de leurs part, que tu as oublié quelque chose…
    ***

    -Tu n'es vraiment qu'un abruti. Tu n'as pas compris que si j'étais sortie c'est parce que je me sentais coupable & que c'était en partie de ma faute. Je reconnais avoir encore exagéré dans mes paroles, mais tu n'es pas mal dans ton genre. Trop idiot pour reconnaître ses torts hein ». cria Elisabeth, les poings serrés de colère.


    *Non mais pour qui elle se prend je ne lui est rien demandé je n’ais aucune désistions à sa place !*Les paroles de sa mère surgit de sa mémoire. En faite en analysant la situation il remarqua qu’il ne c’était même pas demandé pourquoi elle était en colère et puis pourquoi elle ne voulait pas rester toute seule. Serait-il entrain de faire la paix même si le mot paix n’est surement pas le bon mot pour qualifier ce qui est en train de se passer. Il enleva sa main de sa poignée puis il se retourna pour faire face à Elisabeth. Il remarqua qu’elle n’était pas de très bonne humeur enfin cela elle n’avait pas besoin de l’avoir regardé pour le savoir, elle serrait ses poings elle fessait presque peur à Chris.

    -Hum je t’ais laissé le choix et que je sache c’est toi qui à pris ta propre décision et je ne pense pas qu’on pourrait s’entendre nous somme trop différent. Il eu quelque seconde d’hésitation puis il reprit, comme ça tu me trouve mignon ? dit-il en rigolant.

    Qu’allait-il bien pouvoir faire ? Soudain Chris eu une illumination ou plutôt une idée ce qui chez lui était rare. Il eu un petit sourire moqueur puis il dit à Elisabeth :

    -Tu viens ? Ou tu vas rester la planté comme une c***e ?!

    Si Elisabeth voulait rester avec lui elle devrait s’attendre à avoir de très mauvaise comment dire ? A oui elle devrait s’attendre à passer des moments originaux. Cela promettait et Chris avait déjà beaucoup d’idées en tête.



U.C[Dsl mon ordi beug et hier je n'arrivais pas à accéder au fow' .Dsl pour les fautes d'ortho mon ordi n'arriva pas à les corriger^^]
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MessageSujet: Re: "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth]   "Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long."[pv:Elisabeth] EmptyDim 13 Sep - 17:37

    Il était rare qu'Elisabeth ne s'énerve à ce point là. Il était rare que la demoiselle ne se laisse emporter par ses émotions, par ses sentiments, qu'elle fasse passer sa colère avant tout le reste. Mais elle devait reconnaître que pour une fois, une seule et unique fois, la première depuis de très nombreuses années, ça faisait un bien fou. Surtout que ce n'était pas très grave, et qu'elle se fichait totalement de ce que Chris pouvait penser d'elle (enfin en d'autres termes). La dernière fois qu'elle avait vraiment pété un câble comme celui-là, c'était sans doute quand elle avait retrouvé Brendon ... ou encore avant, allez savoir ! En tous les cas, c'était il y a de multiples années. Aaah non, il y avait aussi les disputes avec Jeff, de plus en plus nombreuses, qui la faisait parfois sortir de ses gonds. Mais jamais au point où elle devait serrer les points pour ne pas tout frapper. Il lui suffisait de repenser à ce qu'elle ressentait réellement pour lui, au plus profond de son coeur, pour que tous ses élans d'énervement et de violence se calment instantanément. Encore heureux d'ailleurs, car si elle avait envie de frapper les personnes qu'elle aimait, ce serait grave ! A sa plus grande surprise, Chris avait semblé comprendre son élan de colère, car il avait lâché la poignée de la porte et s'était retournée vers elle, tout doucement, comme pris de panique par cette violence incontrolée. Il semblait ne pas comprendre ce qui se déroulait sous ses yeux, et c'était évident d'ailleurs : personne n'aurait été apte à analyser ce qui lui passait dans la tête à cet instant précis, même elle n'en était pas capable. La voix du jeune garçon qu'elle haissait tant d'habitude, résonna dans le hall totalement vide (pour une fois, et c'était très rare d'ailleurs, comme si tout le monde s'était donné le mot de ne pas déranger les jeunes gens dans leur discussion) de l'université, et elle l'entendit avec une grande joie, et même un grand sentiment de tranquillité.

      « Hum je t’ai laissé le choix et que je sache c’est toi qui à pris ta propre décision et je ne pense pas qu’on pourrait s’entendre nous somme trop différent.Comme ça tu me trouve mignon ? ». rigola Chris, un grand sourire sur le visage auparavant si terne.


    Elisabeth desserra les poings, mais ce n'est pas pour autant qu'elle parut moins énervée. Encore une fois, il ne reconnaissait pas ses torts, pourtant nombreux, voir même pire, les augmentait comme s'il y prenait un malin plaisir. Parfois, Eli se demandait, en rigolant, si ce n'était pas un suppôt de Satan (bien qu'elle ne croyait pas vraiment aux Dieux, aussi nombreux fussent-ils, ou au Diable) et cette hypothèse prenait chaque jours un peu plus de son sens. Et ne parlons même pas de sa pseudo blague, surement censée détendre l'atmosphère, et qui ne faisait que la tendre encore plus ! Rien que pour lui faire plaisir, Elisabeth aurait aimé faire semblant de rire, mais sa gorge semblait nouée, encore par l'image d'Hayden qui flottait devant ses yeux. Sa nouvelle rencontre avec lui était encore trop récente, elle avait eut lieu il y avait trop peu de temps, pour qu'elle puisse ne serait-ce qu'y penser en toute sérénité. Le voir en chair et en os devant elle, comme elle l'avait tant rêvé auparavant, ça lui avait semblé si étrange, si bizarre, et si inopportun. Maintenant qu'elle était retombée amoureuse de quelqu'un d'autre et qu'elle semblait stable et heureuse dans sa vie, voilà qu'il venait tout gâcher en réapparaissant, et ses sentiments avec ! Elisabeth n'allait bien sur pas l'en blâmer, après tout il n'y était pour rien, mais c'était à elle qu'elle s'en voulait, car elle n'avait pas su enterrer définitivement son premier amour dans un coin de sa tête. Au lieu de ça, elle réanimait sa flamme chaque nuits, en pensant et en rêvant de lui. Elle se sentait tellement coupable, tellement honteuse au niveau de Jeff ... Maintenant qu'il lui faisait face, Chris ne lui rappelait plus du tout Hayden. Mais cette image lui avait semblé trop vraie pour qu'elle ne l'ait déjà oubliée. Elisabeth n'eut même pas le temps de répondre quoi que ce soit, trop plongée dans ses pensées qu'elle était, que le jeune homme lui réadressa la parole, mais cette fois ci d'une manière beaucoup plus gentille et agréable qu'il ne l'avait jamais fait :

      « Tu viens ? Ou tu vas rester la planté comme une c***e ?! ». demanda Chris, un sourire aux lèvres.


    D'ailleurs, ce sourire ne paraissait pas très catholique, à l'avis d'Elisabeth. Déjà, elle trouvait cela très étrange qu'il lui demande maintenant de la rejoindre, après toutes ses réticences, et elle ne parvenait pas à croire que ça petite tirade n'ai été aussi efficace ! Il en fallait peu, à Chris, pour lui faire changer d'avis. Mais Eli ne pouvait pas dire non, cela aurait semblé trop louche, beaucoup trop d'ailleurs. Elle n'allait pas insister puis faire comme si rien ne c'était pas passé et se barrer de l'autre côté. Mais intérieurement, la présidente des Zeta Beta Zeta se disait bien que le jeune homme devait avoir de nombreuses idées en tête pour lui faire regretter cette envie de le rejoindre, et elle imaginait bien à quoi elle aurait droit. Cette "ballade" ne signifiait pas une trêve, ni même une paix séparée, elle voulait juste dire : "une occasion de te faire encore chi**, et là, ma p'tite, tu vas le payer !" Elisabeth s'attendait presque à entendre la voix de Chris résonner dans le hall, sortant une phrase de ce style là. Ca lui ressemblait tellement. Et puis, franchement, qu'il était prévisible ! Elisabeth le rejoignit jusqu'à la porte, lui adressa un fin sourire, qui signifiait très clairement que s'il tentait quoi que ce soit, elle n'était pas le genre de fille à tendre l'autre joue & à se laisser faire. Mais ça, Chris le savait déjà. C'était bien pour ça qu'il l'appréciait, non ?!

      « Très bien, puisque tu y tiens tant ! Mais la prochaine fois, il faudra faire plus d'efforts pour que je t'accompagne, je ne suis pas une fille facile, moi ! ». dit Elisabeth, d'une manière ironique, comme si c'était lui qui l'avait prié de le rejoindre, et non pas l'inverse.


    Elisabeth aimait beaucoup jouer sur les mots, mais elle savait que c'était aussi le cas de Chris (lui même qui adorait sortir des blagues à deux balles). Bref, en d'autres termes, les deux jeunes gens, même s'ils ne voulaient pas se l'avouer, étaient assez complémentaires dans leur genre. Mais quelque chose soufflait à Eli que si elle croisait des gens dans le parc (et même à cette heure-ci, ça risquait fort d'arriver), elle aurait droit à quelques regards d'inquiétudes, à quelques sourires moqueurs, voir même à des remarques déplaisantes et ironiques. Car en effet, il n'était pas fréquent de voir la présidente des Zeta Beta, la prestigieuse sororité des plus belles filles de l'université, en compagnie du président des Kappa Tau Gamma, la fraternité qui n'attendait qu'une chose : être la préférée des ZBZ. Certains lanceraient même des rumeurs, sans aucun doute les Tri Pi, du genre de "Elisabeth préféré trainer avec Chris Warner, en ce moment elle laisse beaucoup tomber Jeff je trouve" ou encore "Je suis sure qu'Elisabeth va choisir les Kappa Tau comme fraternité favorite des ZBZ, cette alliance en est la preuve". Bref, habituellement, cela l'aurait gênée, car elle n'aimait pas donner une mauvaise impression d'elle même aux gens, mais là, étrangement, elle n'en avait rien à faire, et tout ce qu'elle désirait, c'était passer un bon moment, drôle et amusant, avec un garçon qu'elle apprendrait peut-être, un jour, à apprécier... ou pas !


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